À Talat N’Yaaqoub, tout proche de l’épicentre du séisme qui a secoué le Maroc, le regard peine à trouver des bâtiments encore debout, et les habitants craignent désormais la saison des pluies, qui provoque des glissements de terrain. Le collège
À Talat N’Yaaqoub, tout proche de l’épicentre du séisme qui a secoué le Maroc, le regard peine à trouver des bâtiments encore debout, et les habitants craignent désormais la saison des pluies, qui provoque des glissements de terrain. Le collège