OMS Afrique : la Bostwanaise Matshidiso Moeti reconduite directrice régionale

Après un premier mandat de cinq ans, la Botswanaise Matshidiso Moeti vient d’être reconduite en tant que directrice régionale du Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique. La mobilisation de l’investissement pour la réalisation de la couverture santé universelle sur le Continent sera l’une de ses priorités.

Matshidiso Moeti reste à la tête de l’organe régional africain de l’Organisation mondiale de la Santé. Lors de sa 146e réunion qui s’est tenue à Genève hier, lundi 3 février, le conseil d’administration de l’organisation internationale a reconduit la Botswanaise dans ses fonctions de directrice régionale jusqu’en 2025, indique un communiqué officiel.

« Alors que l’Afrique est de plus en plus confrontée au double fardeau des maladies, les cinq prochaines années en santé publique seront cruciales pour jeter les bases solides pour renverser ce fardeau », a déclaré Moeti, se réjouissant de l’opportunité qui lui est donnée de poursuivre sur les dossiers entamés depuis le siège africain de l’OMS à Brazzaville, au Congo.

Matshidiso Moeti qui signe cette année 21 ans dans les rangs du bureau régional de l’OMS pour l’Afrique, entend accélérer la réalisation de la couverture santé universelle au cours des cinq prochaines années « en veillant à ce que personne ne manque de soins de santé parce que le coût est trop élevé, la qualité est trop faible, ou en raison d’obstacles géographiques ou autres à l’accès aux soins ».

A la tête de l’OMS pour l’Afrique depuis 2015, elle a, à son actif, plusieurs initiatives à succès, comme le forum de l’OMS sur la santé en Afrique lancé en 2017 et dont la deuxième édition s’est tenue à Praia, au Cap-Vert, en mars 2019. Elle est également derrière l’initiative des chefs d’Etat africains lancée en février 2019 et visant à accroître les investissements dans la santé, pour justement atteindre la couverture santé universelle. Depuis lors, Dr Moeti milite pour une plus grande implication du secteur privé dans le domaine de la santé. Et le défi est surtout d’ordre financier.

« Il y a une forte mobilisation en cours, notamment en matière de recherche des moyens qui permettront d’accélérer le processus vers cette couverture santé universelle », expliquait Dr Moeti dans un entretien avec La Tribune Afrique en marge de l’événement de Praia. « Nous sommes en train de travailler avec nos experts, poursuivait-elle, pour définir des stratégies de financement qui permettent de sortir les populations de l’économie informelle pour qu’elles puissent bénéficier de l’assurance maladie contactée par les entreprises ».

afrique.latribune.fr

Dette de l’Afrique : la BAD hausse le ton face à la Banque mondiale

Le torchon brûle entre la Banque mondiale et la Banque africaine de développement (BAD). L’institution multilatérale panafricaine basée à Abidjan réfute véhément les critiques de David Malpass, qui l’accuse de contribuer aux problèmes d’endettement de l’Afrique en prêtant toujours plus aux pays en difficultés.

C’est une cinglante réaction de la Banque africaine développement (BAD) qui tombe ce vendredi suite à la sortie médiatique de David Malpass, président de la Banque mondiale. La BAD dénonce des propos « non fondés sur des faits » qui « mettent en cause l’intégrité de la [banque], discréditent ses systèmes de gouvernance et insinuent à tort qu’elle fonctionne selon des normes différentes de celles de la Banque mondiale. Une telle idée va à l’encontre de l’esprit du multilatéralisme et de notre travail de collaboration », indique un communiqué largement diffusé ce vendredi.

A un forum de la Banque mondiale et du FMI à Washington en début de semaine, David Malpass a critiqué plusieurs banques de développement, estimant qu’elles « ont tendance à prêter trop rapidement et à aggraver le problème de la dette des pays ». Le patron de l’institution de Bretton Woods a notamment cité en exemple la BAD pour ses prêts au Nigeria et à l’Afrique du Sud qui, selon lui, plongent ces pays dans une situation budgétaire difficile.

« Nous estimons que la Banque mondiale aurait pu explorer d’autres cadres existants pour discuter, entre banques multilatérales de développement, des questions liées à la dette. La déclaration générale du président du Groupe de la Banque mondiale laissant penser que la Banque africaine de développement contribue à l’endettement des pays africains et que ses normes de prêt sont moins strictes est tout simplement fallacieuse et inexacte », indique la BAD dans sa note.

Sur le terrain, la BM prête plus que la BAD

En parlant de faits, la BAD révèle que la Banque mondiale -en raison de sa puissance financière- décaisse beaucoup plus de fonds à destination des économies nigériane et sud-africaine, soit respectivement 8,3 milliards de dollars et 2,4 milliards de dollars en 2018, contre 2,1 milliards de dollars et 2 milliards de dollars pour la BAD.

Assurant suivre des normes strictes dans son processus d’octroi de prêts, l’institution financière panafricaine dirigée par le Nigerian Akinwumi Adesina reconnait la tendance d’aggravation de la dette des pays africains. Mais la BAD rappelle également qu’il est impératif de continuer d’aider ces économies « vu l’ampleur des besoins en financement du continent africain », d’autant que si cela ne dépendait que de ces pays, il faudrait en faire plus.

afrique.latribune.fr

Incivilités numériques, fléau du Web

Microsoft dresse l’état des lieux mondial du harcèlement en ligne. Vingt-cinq pays ont été passés au crible dans son rapport 2020 des incivilités numériques.

Les réseaux sociaux figurent parmi les plateformes sur lesquelles les propos haineux sont de plus en plus présents. Les incivilités numériques sont devenues un fléau sur la Toile, estime en préambule Microsoft, qui vient de publier son baromètre annuel du harcèlement en ligne. Cette déferlante de commentaires haineux et vexatoires sont rédigés la plupart du temps par de parfaits anonymes, remarque la firme de Redmond, à grands coups de canulars, d’escroqueries, de fraudes, de prises de contact non désirées ou encore de messages sexistes. Un véritable problème de société, dont les géants du Web n’ont jamais voulu réellement prendre la mesure, pensent par ailleurs la plupart des internautes interrogés.

Certains sujets semblent ressortir plus souvent que d’autres

L’apparence physique est de loin le premier objet de moquerie sur les réseaux sociaux et sur le Web en général. Viennent ensuite l’orientation sexuelle des internautes, leurs prises de position politique et enfin l’expression de leur foi ou de leur pratique religieuse. De toutes les plateformes numériques, sur lesquels les contenus haineux identifiés par Microsoft et que l’on peut aisément qualifier « d’agressivité générique », c’est-à-dire sans cible particulière, les réseaux sociaux arrivent évidemment en tête, bien devant les forums de discussion sur les blogs ou les sites internet. Sur le podium de la vindicte en ligne, on retrouve dans l’ordre Facebook, Snapchat et Twitter.

Premières victimes des commentaires humiliants : les femmes

Quel que soit le pays examiné, les femmes subissent de plein fouet ces attaques en ligne de façon régulière et répétée. Fait notable, 25% d’entre elles estiment qu’elles sont victimes de cyberharcèlement concernant leur apparence physique. Cette haine en ligne n’épargne cependant ni les pauvres, ni les étudiants, ni les personnes âgées. Et surtout pas les « millennials », la génération des ados et jeunes adultes très présente sur les réseaux sociaux, avec un harcèlement jusqu’au-boutiste qui se termine parfois en drame.

Parmi les pays les plus touchés, le Vietnam, la Russie, la Colombie, le Pérou et l’Afrique du Sud

83% des sondés sud-africains estiment être constamment harcelés en ligne. Rappelons toutefois que Facebook, Microsoft, Twitter, YouTube et, depuis janvier 2018, Google et Instagram s’étaient engagés à retirer les contenus insultants en moins de 24 heures. Le panorama 2020 des incivilités en ligne publié par la firme américaine prouve cependant qu’il n’en est rien. Le chemin sera encore long avant d’extirper du Web la déferlante de propos orduriers qui gangrènent, depuis trop longtemps, la Toile et les réseaux sociaux.

RFI

Les conseils pour manager les nouvelles générations

Les nouvelles générations sont présentes sur le marché et donnent du fil à retordre aux anciennes qui étaient habituées à des attentes différentes de la part des collaborateurs. Aujourd’hui, manager ne se fait plus de la même manière et il ne suffit pas de donner un salaire pour que l’engagement soit présent. Avec un avenir incertain et des technologies omniprésentes, on peut comprendre que l’évolution soit naturelle. 

1 – Ne pas croire que l’argent fait tout 

Si la contrepartie du travail était autrefois les espèces trébuchantes et qu’elles restent importantes sinon ils feraient du bénévolat, les jeunes sont moins sensibles à l’argent qu’autrefois. De nombreuses études montrent que le salaire a perdu de l’importance à leurs yeux et ils aspirent désormais à quelque chose de plus. Attention tout de même car il existe des profils pour lesquels le salaire et primes demeurent le premier critère. S’il n’est plus le seul élément qui permet de faire de la rétention ou de l’attraction, il reste à prendre compte souvent comme le premier critère. 

2 – Donner un sens qui va au-delà de faire de la croissance

Aujourd’hui, l’entreprise doit donner du sens à l’action et l’entreprise responsable est en vogue. Les salariés cherchent à mettre du sens dans leur action et ne désirent plus rejoindre les multinationales qui n’ont pas de politique RSE. Pour attirer les talents, l’aventure joue un grand rôle et être une entreprise qui œuvre pour un but qui va au-delà de la croissance est devenu un critère de choix. Si on considère la rétention des talents, il est même presque devenu nécessaire d’aller plus loin et de mettre en exergue l’impact de l’action de chacun dans ce but. Certaines entreprises n’hésitent pas à créer des tableaux de bord dynamiques qui montrent chaque jour la progression vers l’objectif de l’entreprise et l’impact de chaque service sur sa réalisation. 

3 – Prendre en compte les nouvelles technologies

Les nouvelles générations sont nées avec les nouvelles technologies. Vouloir s’en passer est un peu devenu signe d’obsolescence pour eux. Fonctionner à l’ancienne avec des tonnes de papier à remplir à la main n’est pas dans leur habitude de fonctionnement et vous pourriez vite les dissuader de vous rejoindre si vous ne mettez pas en place des habitudes de travail qui sont dans l’air du temps. Ils sont nombreux à maîtriser parfaitement des outils comme Skype, What’s App ou les réseaux sociaux comme Instagram. Ils seront souvent force de proposition en l’occurrence et il faudra parfois savoir vous mettre à la page. 

4 – Avoir plus de souplesses 

Il s’agit d’une génération qui aspire à plus de souplesse. Il n’y a qu’à voir le nombre d’entre eux qui cherchent à créer leur entreprise pour comprendre que l’indépendance est une clé du management moderne. La flexibilité sur les horaires quand elle est possible reste fortement appréciée. Aussi, la possibilité de travailler exceptionnellement à distance reste un argument de taille notamment si cela leur permet de gérer les soucis personnels. Les vies privée et professionnelle s’étant aujourd’hui fortement entremêlées depuis l’apparition des smartphones avec une connexion permanente aux emails, la souplesse joue un rôle majeur. 

5 – L’ambiance avant tout

Même si cela semble parfois illusoire dans certaines sociétés, le bien-être au travail joue un rôle capital pour d’autres. L’ambiance doit être détendue et le lieu de vie agréable. Influencées par les propositions de la Silicon Valley, certaines pratiques comme disposer d’un babyfoot/ table de ping pong sont devenues courantes dans les entreprises quelles que soient leur taille. Les espaces de coworking en proposent et les entreprises n’hésitent plus à les rejoindre pour bénéficier de l’ensemble de ces avantages et attirer toujours plus de monde. Le cadre de travail est aujourd’hui essentiel et proposer un cadre trop sévère peut vite les lasser. Une fois que vous avez vécu avec le café à disposition, il peut être difficile de se voir travailler sans les avantages des entreprises qui cherchent à procurer le bien-être de leurs collaborateurs. 

6 – Le team building

On le remarque peu mais pourtant sa présence dans toutes les interviews des entreprises qui souhaitent attirer. Aujourd’hui, les managers n’hésitent plus à inviter leurs équipes en dehors du lieu de travail à aller boire un verre par exemple. Le team building s’est imposé partout que ce soit à l’échelle d’un groupe au travers de séminaires, de pôle avec des concours par exemple ou plus simplement d’initiatives locales. Certains managers sont d’ailleurs surpris d’entendre des réflexions lors d’entretien comme « Ah bon, votre séminaire ne se fait pas à New York ? ». S’il n’est pas nécessaire de traverser l’Atlantique, l’esprit d’équipe tient un rôle fondamental. Il vous faudra donc faire attention à ne pas recruter quelqu’un qui le détruirait. 

7 – Bien prendre en compte l’accueil

Quand un salarié arrive, il est souvent perdu. L’accueil de chaque nouvel arrivant est aujourd’hui une nécessité pour les entreprises qui ne laissent plus rien au hasard. Entre kit d’accueil, formation, intégration pendant plusieurs semaines, il est clair qu’elles font tout pour intégrer le plus rapidement possible les nouveaux venus. Certaines entreprises créent des vidéos d’accueil permettant d’expliquer tout le fonctionnement de l’entreprise afin que chacun connaisse son fonctionnement global. 

8 – L’évolution de poste

On néglige très souvent la formation dans les entreprises. L’évolution de poste et le changement sont devenus cependant une des clés du management de la nouvelle génération. Elle ne cherche plus à rentrer dans une routine et veut souvent pouvoir relever des challenges et acquérir des compétences qui valorisent leur cv. La nouvelle génération se lasse plus vite et il vous faudra prendre en compte les aspirations de chacun et savoir vers quoi elle veut aller. Elle n’hésite plus à apprendre et se former. Si les jeunes ne peuvent pas chez vous, nul doute qu’ils iront voir si l’herbe est plus verte ailleurs. 

En fin de compte, la nouvelle génération n’est pas si différente de l’ancienne si ce n’est par sa maîtrise des nouvelles technologies, sa volonté d’œuvrer pour quelque chose qui a du sens, une frontière vie privée vie professionnelle souvent plus perméable et son envie d’œuvrer dans des conditions plus agréables de travail. 

dynamique-mag.com

L’accélération, une préoccupation réelle des dirigeants

Selon une étude de Mazars réalisé par Data Observer et Opinionway, 41% des dirigeants seraient préoccupés par l’accélération actuelle. De nombreux nouveaux enjeux et la rapidité de développement technologique implique une nécessité de transformer les entreprises et parfois même de remettre en cause leur business mode. 

Les quatre causes de l’accélération

Pour les dirigeants interrogés aujourd’hui quatre sources principales induisent une accélération. D’abord la technologie qui se « diffuse et évolue plus vite qu’auparavant ». Cette progression ne risque pas de s’arrêter et l’apparition de nouvelles technologies toujours plus performantes et plus rapides reste à prévoir. Le Big data ou l’arrivée de l’Intelligence artificielle devrait notamment contraindre les entreprises à rapidement remettre en question leur processus actuel. La mondialisation pose également problème puisqu’elle induit l’arrivée en grand nombre de nouveaux concurrents. Parallèlement au premier phénomène qui implique que chacun puisse travailler à distance, on comprend qu’il s’agira surement d’un défi de taille pour les entreprises. Le changement de comportement du consommateur est également mis en cause. Celui est un devenu, selon l’étude, « un véritable dictateur, volage et intraitable ». Enfin et on le comprend l’« urgence climatique : la fin du greenwashing et d’une décennie perdue » génère une accélération qui ne devrait pas s’arrêter pour les entreprises

Des entreprises qui se transforment

Si les effets de l’accélération se font sentir, une grande majorité de dirigeants soulignent qu’elle « ne doit faire perdre de vue le cœur du business ainsi que la raison d’être de l’entreprise ». Toutes les entreprises ne changent pas cependant de business model pour autant puisqu’elles ne sont que 25% des entreprises à en faire un nouveau, 20% des ETI qui en ont déjà adopté alors que 5% l’envisagent à court ou moyen terme. Parmi celles-ci à noter que c’est seulement dans 15% des cas que l’ancien business model est abandonné alors que 85% en font un complément de l’existant. Elles semblent donc considérer qu’il y aura davantage une transformation qu’une réelle remise en cause directe.

Les raisons de changer de business model

Si le fait de changer de business model semble lié à l’accélération. On constate que c’est davantage pour accroître le business existant que les entreprises souhaitent réaliser ce changement puisque 50% déclarent le faire pour trouver de nouveaux leviers de croissance et 49% pour accélérer la croissance.

Ceci n’est pas la seule raison puisqu’ils sont 34% à déclarer le faire pour contrer une baisse du chiffre d’affaires, ce qui induit que les nouveaux comportements des consommateurs affectent les ventes. Dans le même ordre d’idée 34% le font pour répondre à la pression des clients, 24% pour rester à la page et s’adapter aux disruptions du marché du aux technologies.  Mais les consommateurs ne sont pas les seuls acteurs puisque 20% réalisent ce changement pour répondre à la pression des salariés. La concurrence joue également puisque 25% le font pour s’adapter aux des concurrents et que 23% le font par crainte d’être éliminée. 

Si les consommateurs ont changé le cadre légal a également évolué puisque 31% déclare le faire pour s’adapter au cadre légal et 24% pour s’adapter à son environnement fiscal, une véritable prise de conscience donc par le législateur. 

Enfin 22%, le font pour contribuer à préserver l’environnement.

L’accélération a un impact sur tous les services

Les RH restent les premiers impactés par le changement de business model puisque 52% déclarent qu’ils en sont tributaires. Mais ce sont un peu tous les services qui sont impactés puisqu’entre 40 et 49%, ils déclarent que la finance, la communication, l’organisation de l’entreprise, le management, la culture d’entreprise, et le marketing sont affectés par celle-ci. Restent que d’autres secteurs de l’entreprise sont également affectés car leurs réponses allant tout de même de 29à 39% pour la R&D, la trésorerie, l’image de l’entreprise sur le marché, les aspects commerciaux, la logistique, les aspects juridiques, la communication financière de l’entreprise ou encore la structure de marge sont loin d’être anodines. Ce sont donc bien tous les pans de l’entreprise qui subissent cette accélération et qui vont devoir s’adapter aux nouvelles technologies, aux enjeux environnementaux, à la mondialisation ainsi qu’à un consommateur de plus exigeant et qui ne laisse plus rien passer.

Les phénomènes à prendre en compte

Si les dirigeants sont concernés par cette accélération, c’est d’abord lié au fait que tout semble devoir être effectué plus rapidement. Le consommateur est le premier à l’origine de ses transformations car il n’hésite plus à faire appel à la concurrence même mondiale. Sa volatilité est d’abord facilitée par les nouveaux moyens technologiques (il peut faire ses demandes partout dans le monde en quelques clics) et il faut prendre en compte qu’il attend aujourd’hui une réponse quasi immédiate. La patience n’est donc plus de mise et il veut tout, tout de suite. Sa conscience de l’environnement (et espérons-le celle des dirigeants) a impliqué que ses réflexes d’achat sont en train de se modifier. Les entreprises doivent donc remettre en cause tout leur processus afin de s’adapter à cette nouvelle demande qui se veut plus saine pour la planète mais également plus respectueuse pour l’écosystème. La consommation devrait paradoxalement évoluer vers du local dans les années à venir alors que paradoxalement de plus en plus font appels à des sociétés à l’autre bout de la planète.

Il n’y a nul doute que l’on devrait voir les entreprises se transformer de manière phénoménale dans les prochaines années. 

dynamique-mag.com

Yaya Touré, première star africaine à jouer Brésil?

Après sa courte dernière expérience en Chine, au Qingdao Huanghai , Yaya Touré pourrait découvrir un nouveau pays-continent : le Brésil. Selon Globo Esporte, Botafogo négocie avec le milieu ivoirien de 36 ans.

En Amérique du Sud, le Brésil n’a jamais vraiment ouvert ses portes aux joueurs venus d’Afrique ou d’Asie, à quelques rares exceptions.

Selon Globo Esporte, Yaya Touré, libre, est en contacts avancés avec l’un des plus grands clubs de Rio, Botafogo.

Ce jeudi 20 février, l’ex-président du club Carlos Augusto Montenegro serait à Paris pour rencontrer l’ancien joueur de Manchester City. L’international ivoirien, 36 ans, élu à quatre reprises Joueur africain de l’année, aurait même selon le site brésilien déjà discuté avec l’entraîneur Paulo Autuori.

La semaine dernière, le milieu japonais Keisuke Honda a été accueilli à Rio de Janeiro par plusieurs milliers de supporters de Botafogo. La star japonaise s’est engagée pour une année. Honda, ancien joueur de l’AC Milan et du CSKA Moscou n’est donc pas la première star étrangère à signer à Botafogo en fin de carrière. Botafogo avait attiré en 2012 le Néerlandais Clarence Seedorf, qui avait joué pendant un an et demi.

Lors du Mondial 2014 au Brésil, Keisuke Honda et Yaya Touré s’étaient déjà retrouvés sur le même terrain ! Si le Japonais avait ouvert le score à la 16e minute face aux Eléphants, Wilfried Bony et Gervinho avaient permis à la Côte d’Ivoire de l’emporter (2-1).

L’Amérique du Sud en général n’attirait pas jusqu’à présent les gloires du foot africain. L’ancien attaquant international Togolais, Emmanuel Adebayor (35 ans, 66 sélections, 29 buts avec le Togo), vient tout juste de débarquer au Paraguay, dans le Club Olimpia, quadruple champion en titre.

Depuis la possible arrivée de Yaya Touré au Brésil, le hashtag #YayaNoBotafogo fait fureur sur les réseaux sociaux. Et comme pour Keisuke Honda, les fans du club noir et blanc de Rio pourraient réserver un accueil en grande pompe au champion d’Afrique.

RFI

The Fashion Blogger Instagrams to Follow In 2018

Duis vitae massa blandit, volutpat enim ac, feugiat lorem. Aenean eget eros a nulla feugiat venenatis. Morbi scelerisque, enim id dapibus mattis, lectus arcu luctus orci, sit amet imperdiet mi arcu et dui. Pellentesque ultrices elementum nunc nec efficitur. Suspendisse congue aliquam eros eu posuere. Morbi accumsan dui ac nulla consequat, eu lacinia elit placerat. Duis nec augue semper mauris lobortis congue. Praesent id volutpat odio.

Maecenas hendrerit vel arcu eget rhoncus. Mauris rhoncus nunc libero, non fermentum orci hendrerit nec. Suspendisse facilisis pretium est quis rhoncus. Maecenas eget dui in tellus bibendum aliquet. Suspendisse ipsum nisl, placerat sit amet libero sit amet, blandit finibus est. Etiam lobortis dolor mattis tincidunt hendrerit. Ut at nisi turpis. Suspendisse vel bibendum velit, sed lacinia ligula. Maecenas nec leo blandit, tincidunt elit vitae, faucibus orci. Donec dui velit, lacinia molestie cursus sit amet, scelerisque nec ante. Curabitur ullamcorper lobortis odio eu aliquam. Aliquam aliquet, mauris non tincidunt gravida, enim urna ornare ante, a tempor magna urna fermentu

How Important is Product Photography in eCommerce

Duis vitae massa blandit, volutpat enim ac, feugiat lorem. Aenean eget eros a nulla feugiat venenatis. Morbi scelerisque, enim id dapibus mattis, lectus arcu luctus orci, sit amet imperdiet mi arcu et dui. Pellentesque ultrices elementum nunc nec efficitur. Suspendisse congue aliquam eros eu posuere. Morbi accumsan dui ac nulla consequat, eu lacinia elit placerat. Duis nec augue semper mauris lobortis congue. Praesent id volutpat odio.

Maecenas hendrerit vel arcu eget rhoncus. Mauris rhoncus nunc libero, non fermentum orci hendrerit nec. Suspendisse facilisis pretium est quis rhoncus. Maecenas eget dui in tellus bibendum aliquet. Suspendisse ipsum nisl, placerat sit amet libero sit amet, blandit finibus est. Etiam lobortis dolor mattis tincidunt hendrerit. Ut at nisi turpis. Suspendisse vel bibendum velit, sed lacinia ligula. Maecenas nec leo blandit, tincidunt elit vitae, faucibus orci. Donec dui velit, lacinia molestie cursus sit amet, scelerisque nec ante. Curabitur ullamcorper lobortis odio eu aliquam. Aliquam aliquet, mauris non tincidunt gravida, enim urna ornare ante, a tempor magna urna fermentu

Architectural Trends That Will Define The Next Decade

Duis vitae massa blandit, volutpat enim ac, feugiat lorem. Aenean eget eros a nulla feugiat venenatis. Morbi scelerisque, enim id dapibus mattis, lectus arcu luctus orci, sit amet imperdiet mi arcu et dui. Pellentesque ultrices elementum nunc nec efficitur. Suspendisse congue aliquam eros eu posuere. Morbi accumsan dui ac nulla consequat, eu lacinia elit placerat. Duis nec augue semper mauris lobortis congue. Praesent id volutpat odio.

Maecenas hendrerit vel arcu eget rhoncus. Mauris rhoncus nunc libero, non fermentum orci hendrerit nec. Suspendisse facilisis pretium est quis rhoncus. Maecenas eget dui in tellus bibendum aliquet. Suspendisse ipsum nisl, placerat sit amet libero sit amet, blandit finibus est. Etiam lobortis dolor mattis tincidunt hendrerit. Ut at nisi turpis. Suspendisse vel bibendum velit, sed lacinia ligula. Maecenas nec leo blandit, tincidunt elit vitae, faucibus orci. Donec dui velit, lacinia molestie cursus sit amet, scelerisque nec ante. Curabitur ullamcorper lobortis odio eu aliquam. Aliquam aliquet, mauris non tincidunt gravida, enim urna ornare ante, a tempor magna urna fermentu