Grâce à cette innovation intelligente tout droit venue du Japon, plus aucune langue n’est « étrangère »

Dans un monde culturellement divers où bon nombre d’entreprises travaillent à l’international, la maîtrise d’une langue étrangère est une compétence recherchée qui accroît vos chances de décrocher un emploi en améliorant votre CV.

Que vous voyagiez simplement à l’étranger ou que vous travailliez dans le secteur social ou médical, le commerce international ou l’enseignement linguistique, votre aptitude à communiquer avec vos interlocuteurs dans leur propre langue est un énorme atout.

Vous n’êtes pas polyglote ?

Pas de souci ! Deux inventeurs japonais de renom viennent de créer MUAMA Enence, un traducteur instantané qui fait passer l’art de la traduction à un tout autre niveau. MUAMA Enence peut traduire des conversations en temps réel dans plus de 40 langues. Il suffit d’appuyer sur quelques boutons !

Avec MUAMA Enence, vous n’avez plus besoin de maîtriser ni d’apprendre une autre langue pour communiquer. Tous les problèmes causés par la barrière de la langue ne seront bientôt qu’un mauvais souvenir ! Que demander de mieux !

En quoi ce gadget est-il si particulier ?

➠ Une communication instantanée dans une autre langue
Apprendre une nouvelle langue peut prendre des mois voire des années de pratique intensive. MUAMA Enence améliore instantanément vos talents de communication !

➠ Un prix abordable
MUAMA Enence ne coûte pas cher. Les traducteurs ou les interprètes professionnels peuvent s’avérer coûteux, et vous devez payer plusieurs fois pour leurs services. Avec MUAMA Enence, vous ne payez qu’une fois pour avoir accès à un vaste choix de langues.

➠ Pratique et simple d’emploi
Petit et léger, MUAMA Enence se glisse dans un sac ou dans une poche et reste à portée de main quand vous avez besoin. Vous adorerez vous servir tous les jours de ce traducteur vocal portable !

➠ Une parfaite qualité sonore
Vous pouvez vous en servir même dans les endroits fréquentés, car le son est suffisamment puissant pour qu’on l’entende.

➠ Plus de 40 langues prises en charge
Sa technologie de pointe permet de traduire une conversation en deux langues. La traduction textuelle est également disponible.

ar-eg

Arabe (Egypte)

ar-sa

Arabe (Arabie Saoudite)

cs

Tchèque (République Tchèque)

da

Danois (Danemark)

de

Allemand (Allemagne)

el

Grec (Grèce)

en-gb

Anglais (Royaume-Uni)

en-us

Anglais (États-Unis)

en-ie

Anglais (Irlande)

fi

Finlandais (Finlande)

fr-ca

Français (Canada)

fr

Français (France)

hr

Croate (Croate)

hu

Hongrois (Hongrie)

id

Indonésien (Indonésie)

it

Italien (Italie)

ja

Japonais (Japon)

ko

Coréen (Corée du sud)

nl

Néerlandais (Pays-Bas)

no

Norvégien (Norvège)

pl

Polonais (Pologne)

pt-br

Portugais (Brésil)

pt

Portugais (Portugal)

ru

Russe (Russie)

sk

Slovaque (Slovaquie)

sv

Suédois (Suède)

tr

Turc (Turquie)

uk

Ukrainien (Ukraine)

vi

Vietnamien (Vietnam)

es

Espagnol (Espagne)

es-mx

Espagnol (Mexique)

bg

Bulgare (Bulgarie)

ca

Catalan (Espagne)

hi

Hindi (Inde)

ms

Malais (Malaisie)

ro

Roumain (Roumanie)

sl

Slovène (Slovénie)

ta

Tamoul (Inde)

te

Telugu (Inde)

th

Thaï (Thaïlande)

zh-hk

Chinois, mandarin (simplifié, Hong Kong)

zh-tw

Chinois, mandarin (traditionnel, Taiwan)

En quoi MUAMA facilite-t-il la vie ?

Bien que MUAMA Enence ait avant tout été conçu pour les voyageurs, il rencontre un grand succès auprès des professionnels dans différents secteurs. Tout le monde veut se procurer cet appareil !

À notre grande surprise, les professionnels des urgences et du domaine social, et même les bénévoles, adoptent MUAMA Enence parce qu’il leur facilite la tâche.

Nous avons demandé aux utilisateurs du traducteur MUAMA Enence de nous dire en quoi cet appareil leur est utile. Il en ressort que le traducteur MUAMA Enence améliore considérablement leurs conditions de travail.

Devriez-vous vous en procurer un ?

Si vous ne voulez plus jamais vous heurter à la barrière de la langue, la réponse est OUI, sans hésiter ! N’attendez pas pour le faire, car les traducteurs MUAMA Enence sont si populaires partout dans le monde que les stocks risquent bientôt d’être épuisés.

Vous envisagez de partir pour une semaine ou deux dans un pays étranger ? Vous voulez communiquer avec vos nouvelles connaissances dans leur langue maternelle ? Vous voulez travailler à temps plein dans un pays étranger, et il vous faut maîtriser la langue ?

MUAMA Enence vous permettra de faire tout ça, et bien plus encore !

japantech.net

Coronavirus : quand l’Afrique met les Européens en quarantaine

Alors que l’Afrique pâtit encore trop souvent d’une image corrélée aux épidémies, ce sont désormais les pays asiatiques, mais aussi européens qui inquiètent le Continent. Mises en quarantaine de ressortissants étrangers et annulations de rencontres internationales se multiplient, depuis l’apparition du COVID-19.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) regrettait jeudi 5 mars dernier, une trop faible mobilisation dans la lutte contre le coronavirus, qui a déjà entraîné la mort près de 4 300 personnes (au 11 mars), car si les infections sont en recul en Chine, la transmission communautaire s’accélère au niveau mondial.

Près de 120 000 cas ont été répertoriés à travers 110 pays. Des Etats-Unis à la Corée du Sud ou à l’Iran, en passant par l’Europe : personne n’est épargné. Sur le Vieux continent, la France et l’Italie sont considérées comme les 2 principaux foyers européens du COVID-19. En état d’urgence, l’Italie compte près de 10 100 cas pour 600 décès et plus de 15 millions d’habitants sont placés en quarantaine. Derrière les Alpes, toutes les régions de l’Hexagone sont touchées avec 1 784 personnes affectées, 33 décès constatés et l’annonce de l’urgence sanitaire (la phase 3 de l’épidémie) semble se rapprocher chaque jour un peu plus.

Sur le continent africain, les premiers cas de COVID-19 entraînent la mise en place de mesures préventives par des gouvernements inquiets de voir se répandre une épidémie qu’il serait difficile de contenir, faute de moyens et d’équipements suffisants. « Le bureau régional pour l’Afrique de l’OMS a veillé à ce que chaque Etat-membre soit en capacité d’entreprendre les tests du COVID-19 », rassure Collins Boakye-Agyemang de l’OMS.

Au matin du 9 mars 2020, l’organisation recensait 20 cas confirmés de COVID-19 en Algérie, 4 au Sénégal, 7 en Afrique du Sud, 2 au Cameroun, 2 au Nigeria et 1 au Togo, auxquels s’ajoutent « plusieurs cas en Egypte [59], au Maroc [2] et en Tunisie [2, qui relèvent de la région Méditerranée orientale de l’OMS », a-t-il indiqué. Depuis cette déclaration, La République démocratique du Congo a déclaré son 1er cas et le Burkina Faso a annoncé 2 contaminations ainsi que la mise en quarantaine d’une personne supplémentaire. Chaque jour, le coronavirus gagne du terrain sur le continent…

Seulement 2 laboratoires de référence du COVID-19 en Afrique

« Des missions de cadrage de l’OMS sont prévues dans les pays qui ne disposent pas actuellement de la capacité d’effectuer les tests du COVID-19, pour déterminer le niveau de soutien requis […] En attendant, des accords bilatéraux sont mis en place entre les pays qui ne peuvent pas réaliser ces tests et ceux qui sont en mesure de le faire », souligne Collins Boakye-Agyemang. Seuls 38 des 47 pays membres de l’OMS (sur les 54 du continent), seraient en mesure de pratiquer leurs propres tests pour détecter le COVID-19. Néanmoins, l’Afrique ne compte que 2 laboratoires inscrits sur la liste mondiale des laboratoires de référence COVID-19, vers lesquels les pays peuvent envoyer leurs échantillons (le NICD en Afrique du Sud et l’Institut Pasteur Dakar au Sénégal). Aussi, en cas de propagation du virus, ces entités risquent fort d’être rapidement submergées.Alors que l’Europe attend le retour du printemps dans l’espoir d’une disparition progressive du virus, sur le continent de « l’été permanent », les chefs d’Etat réagissent. Certains vont jusqu’à interdire tout déplacement extérieur à leurs ministres (Bénin, Sénégal, Côte d’Ivoire et Congo) et les premières mesures de mise en quarantaine de personnes venant de « destinations à risque » s’organisent du Congo au Burundi.

Le 7 mars, le ministère ougandais de la Santé annonçait des mesures invitant les ressortissants de 7 pays classés en catégorie 1 (la France, la Chine, la Corée du Sud, l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne et l’Iran) à reporter leurs voyages « non essentiels ». Pour ceux qui décideraient de maintenir leur déplacement, une période d’auto-quarantaine de 14 jours devra désormais être observée, aux frais des voyageurs. Cette décision est intervenue à 48 heures seulement de l’ouverture du premier Forum des affaires Ouganda-Europe. « Nous avons reçu 22 passagers des pays en catégorie 1, aucun d’entre eux ne présentait de symptômes de COVID-19. Nous les avons informés de notre procédure d’auto-quarantaine pendant 14 jours. Cependant, ils n’étaient pas disposés à subir cette auto-quarantaine », twittait Jane Ruth Aceng, ministre de la Santé, le 8 mars dernier.

De fait, les passagers réfractaires fraîchement débarqués (arrivés pour l’événement) ont été invités à rentrer dans leur pays d’origine. Depuis, le gouvernement a purement et simplement interdit aux Ougandais de voyager dans les pays classés en « catégorie 1 » et toutes les rencontres internationales à venir ont été annulées. Du côté de Brazzaville, les autorités locales ont-elles aussi décidé d’instaurer une mise en quarantaine de 14 jours pour tous les passagers venus de France, d’Italie, de Chine, de Corée du Sud et d’Iran, à compter du 9 mars. Enfin, chez les populations suspendues à l’évolution d’une crise sanitaire qui rappelle la psychose pas si lointaine liée à l’épidémie d’Ebola, la prudence est de mise.

Déjà de lourdes pertes générées par le COVID-19

Selon une analyse de la Conférence des Nations unies sur le Commerce et le développement (CNUCED) datée du 9 mars dernier, le manque à gagner provoqué par le COVID-19 s’élèverait à 220 milliards de dollars dans les pays en développement, « confrontés à une série de vulnérabilités financières et de dette qui ne cessent de s’aggraver et qui n’augurent rien de bon dans leur capacité à résister à un autre choc externe ». Alors que l’analyse rapporte que « le choc dit de « Covid-19 » provoquera une récession dans certains pays et fera baisser la croissance annuelle mondiale cette année à moins de 2,5% », l’Afrique enregistre déjà un certain nombre de déséquilibres.

En effet, l’apparition du COVID-19 en Chine (premier partenaire commercial de l’Afrique) pourrait à terme provoquer de lourdes conséquences économiques sur le continent. La majorité des compagnies aériennes africaines ont suspendu leurs vols vers l’Empire du milieu et le secteur du tourisme est significativement touché. Pour le seul mois de mars, le royaume chérifien enregistre déjà près de 100 000 annulations, selon le ministère du Tourisme.

L’épidémie a également eu un impact significatif sur les voyages d’affaires, les rencontres sportives et culturelles, mais aussi sur les conférences internationales prévues sur le continent. Du Next Einstein Forum à Nairobi au Forum Mo Ibrahim à Addis-Abeba, en passant par le prochain Forum de la BADEA en Egypte : on ne compte plus les reports de rencontres internationales. « Suite à la recommandation du gouvernement sénégalais concernant l’escalade des problèmes de santé liés au coronavirus, la saison inaugurale du Basketball Africa League (BAL) sera reportée », pouvait-on lire dans un communiqué d’Amadou Gallo Fall, le Directeur de la NBA Afrique, daté du 4 mars.

Ces annulations de dernière minute ne sont pas sans conséquence. « Cela représente des pertes lourdes atteignant parfois plusieurs millions d’euros pour les organisateurs. Or, si l’état de catastrophe naturelle n’est pas décrété par les pays concernés, aucun remboursement n’est possible par les assureurs… Nous traversons une période de flou artistique qui pourrait coûter cher au secteur traditionnel de l’événementiel », explique Renaud Simard, directeur de Proximum Group, spécialiste des « online meetings ». Le leader européen de ce marché de niche a vu les demandes exploser en quelques jours. « Nous sommes assaillis par les demandes ! Nous enregistrons une hausse d’activité de 400 % par rapport à l’année dernière sur la même période », constate-t-il.

Alors que le continent ne représente que 6 % de sa clientèle, la dématérialisation de l’événementiel pourrait rapidement s’y développer. « La plupart des contrats signés sont le résultat de RDV BtoB or, les salons et les conférences coûtent cher et 70% des décideurs finaux n’y vont jamais. L’intérêt de nos solutions est de réunir un panel d’experts, à moindre coût […] L’Afrique possède déjà cette culture du réseau via les smartphones. Par ailleurs, nos solutions permettent d’éviter les problèmes de visa qu’ils rencontrent encore régulièrement », conclut-il. La crise du coronavirus pourrait donc profiter à la dématérialisation accélérée du secteur, bien qu’un certain nombre de « grand-messes » de l’événementiel sur le continent ait d’ores et déjà été reprogrammées.

 

afrique.latribune.fr

Coronavirus: le sport à l’arrêt sur les cinq continents

Saison de NBA et championnat de football en Espagne suspendus. Le calendrier sportif mondial se réduit comme peau de chagrin en raison de la pandémie de coronavirus. Du jamais dans l’histoire du sport. 

C’est une image en trompe l’œil. Ce jeudi 12 mars, la flamme olympique pour les JO de Tokyo l’été prochain a été allumée sur le site antique grec d’Olympie. Mais pour la première fois en trois décennies, l’évènement s’est déroulé sans spectateurs. Seuls quelques officiels étaient présents.

Le basket à l’arrêt

La planète sport est presque à l’arrêt. Du jamais vu dans l’histoire contemporaine. Les annulations en cascade se multiplient. D’abord en Asie, ensuite en Europe et désormais partout sur les cinq continents.

Il y a peu de temps, l’annonce avait chagriné les fans. Prévue le 21 mars, la classique Milan San-Remo, véritable monument du cyclisme créé en 1907 était annulée. Jusqu’ici, seules les deux guerres mondiales avaient empêché la « Primavera » de se dérouler (1916, 1944 et 1945).

Annulation, reports et huis clos. Le sport mondial vit au rythme de ces trois mots. La National Basket Association (NBA) a annoncé la suspension jusqu’à nouvel ordre de son championnat, après la découverte d’un cas positif, le pivot français des Utah Jazz Rudy Gobert. « Je me suis dit: c’est fou. Ça ne peut pas être vrai. C’est comme sortir d’un film. Irréel », a réagi Mark Cuban, le patron des Dallas Mavericks. Après la NBA, la Fédération internationale (Fiba) et l’Euroligue ont annoncé à leur tour ce jeudi la suspension de leurs compétitions jusqu’à nouvel ordre.

La Ligue des champions de football suspendue ?

Si le Paris Saint-Germain a retrouvé les quarts de finale de la Ligue des champions en battant le Borussia Dortmund, l’avenir de la compétition pose question. Le Championnat d’Espagne de football a été suspendu pour « au moins les deux prochaines journées », tandis que le Real Madrid (basket et foot) a été placé en quarantaine. Un basketteur a été testé positif.  Les deux équipes partagent des installations au centre d’entraînement. L’Espagne est désormais l’un des pays les plus touchés du monde par la pandémie. La Juventus Turin de Cristiano Ronaldo et l’Inter Milan sont placées aussi en quarantaine.

L’UEFA tiendra mardi 17 mars une réunion en visioconférence avec les fédérations européennes pour évoquer les conséquences de la propagation du coronavirus sur le football et décider de la poursuite de la Ligue des champions et de la tenue de l’Euro-2020. L’UEFA a par ailleurs annoncé le report de toutes les compétitions de jeunes, masculines et féminines, prévues entre le 14 mars et le 14 avril dans les catégories de moins de 17 ans et moins de 19 ans.

La course cycliste Paris-Nice a sauvé sa peau

Rare rescapée, la course cycliste Paris-Nice, elle, se poursuit sur les routes de France, jusqu’à dimanche. Seule précaution visible, des zones de départ et d’arrivées dont les spectateurs sont tenus éloignés. Mais l’Américain Tejay Van Garderen qui a quitté l’épreuve ce jeudi, craignait de rester coincé en France après les annonces effectuées par Donald Trump. Dans la nuit de mercredi à jeudi, le président américain a suspendu pour trente jours l’entrée aux États-Unis à tout étranger ayant séjourné en Europe. La mesure doit entrer en vigueur ce vendredi à minuit.

Sur le territoire américain, le maire du comté de Miami-Dade a décidé d’annuler les tournois de tennis ATP et WTA de Miami, prévus du 24 mars au 5 avril. « Bien que le virus ne se soit pas propagé dans notre communauté à l’heure actuelle, nous voulons prendre les mesures pour que la situation demeure ainsi », a indiqué Carlos Gimenez dans un communiqué instituant un « état d’urgence » sur son territoire qui perturbe plusieurs événements sportifs et culturels, dont les tournois de tennis. Juste apès, l’ATP qui gère le circuit professionnel masculin de tennis a annoncé suspendre ses tournois durant 6 semaines. Houston, Marrakech, Monte-Carlo, Barcelone et Budapest passent à la trappe.

A moins de cinq mois des Jeux de Tokyo, le plus grand rendez-vous de sport au monde avec environ  11 000 athlètes, les signes actuels semblent de plus en plus alarmants pour le Japon et son organisation.

RFI

Dénicher des opportunités de business

Dénicher des opportunités de business quand on est lancé dans l’entrepreneuriat fait partie des échanges et dialogues entre entrepreneurs. On s’enthousiasme des découvertes des uns et des autres. Les interviews des entrepreneurs commencent souvent par comment vous est venue l’idée ?  La presse recèle d’exemples d’idées, du parcours d’entrepreneurs et de leur cheminement. 

S’il y a du business partout, encore faut-il pouvoir le trouver ! Les bonnes affaires ne sont pas toujours si faciles à dénicher. Voici quelques conseils qui pourront peut-être vous aiguiller.

Servez-vous de l’actualité. 

L’actualité constitue une mine d’informations et d’opportunités business considérable lorsque l’on est entrepreneur. Servez-vous en pour trouver des idées business que vous pourrez ensuite développer. Des entreprises d’autocars comme Transdev ou Stagecoach qui ont su profiter de la libéralisation du transport par autocar prévu par la loi Macron adoptée en juillet 2015 pour accroître leur business. En 2014, la boutique de luxe parisienne Colette se faisait dévalisée par deux ravisseurs. Quelques heures après, deux internautes proposaient sur internet des tee-shirts estampillés « J’ai braqué Colette » pour un prix unitaire de 25 €. Une idée originale qui a rencontré un franc succès puisqu’ils étaient en rupture de stock deux jours après.

Proposez des solutions alternatives à ce qui existe déjà. 

Vouloir casser des situations monopolistiques peut être une idée pour développer un business. Des entreprises d’auto-école à bas coût comme Ornikar ou PermiGo qui proposent une solution alternative aux consommateurs qui ont besoin de passer leur permis de conduire. L’objectif étant de s’immiscer dans un marché déjà existant en voulant casser les prix jugés trop importants. Xavier Niel lorsqu’il a créé son entreprise de téléphonie mobile Free, déstabilisait ainsi le marché que se partageaient Orange, Bouygues et SFR. Si cette solution peut s’avérer payante, il faut toutefois faire preuve de diplomatie avec ses concurrents car ils n’hésiteront pas à vous mettre des bâtons dans les roues.

Inspirez-vous de ce qui se fait à l’étranger. 

N’ayez pas une simple vision franco-française du business. Regardez ce qui se fait dans les pays voisins et prenez-en de la graine. Originaires des Etats-Unis, les commerces de restauration rapide ambulants appelés Food Trucks sont apparus en France dès 2011 avec « Le camion qui fume », premier concept du genre lancé sur le territoire français par une américaine, Kristin Frederick. Depuis, il existerait plus de 300 Food Trucks répartis sur tout le territoire, une révolution dans le secteur de la restauration rapide ! Cependant, un concept qui fonctionne à l’étranger ne fonctionnera pas obligatoirement en France et inversement. Les cultures étant différentes d’un pays à l’autre, il demeure préférable d’étudier le marché avant de lancer son business.

Observez la vie quotidienne.

Asseyez-vous quelques instants dans votre canapé et repassez-vous le film de votre journée dans la tête. Vous verrez qu’il existe des tas de solutions qui pourraient améliorer votre vie quotidienne mais que personne n’a encore créées. Vous venez de perdre vos clés et ne savez pas où elles se situent ? Pourquoi ne pas inventer un petit appareil qui permettrait de les géolocaliser ? Cet appareil existe déjà, il s’appelle Wistiki. Il a été lancé par trois frères qui cherchaient constamment leur chat dans les placards. Grâce à ce petit boîtier qu’il suffit de faire sonner via son smartphone, ils peuvent retrouver plus facilement leur animal de compagnie. Partir d’un problème quotidien pour lancer un projet entrepreneurial, c’est ce que ces jeunes français ont réussi à réaliser.

Rencontrez d’autres entrepreneurs.

Échanger avec d’autres entrepreneurs peut vous permettre de trouver des idées pour entreprendre. C’est à cela que servent les clubs d’entrepreneurs. Ces clubs vous proposent en général trois formats de soirée : les conférences qui permettent d’échanger avec des invités sur un thème donné, les ateliers pratiques qui se concentrent le plus souvent sur une problématique d’entreprise et les soirées networking qui permettent aux membres de mieux se connaître et d’échanger sur leurs attentes futures ou leur activité s’ils possèdent déjà une entreprise. Ces clubs possèdent plusieurs avantages : ils vous permettent à la fois d’augmenter votre carnet d’adresses, d’apprendre de l’expérience des autres membres et ainsi de ne pas reproduire les mêmes erreurs, de trouver des solutions pour votre business en partageant les difficultés que pouvez rencontrer et également d’apprendre à vendre son projet entrepreneurial auprès d’autres personnes.

Ne pensez pas toujours à la création !

Le business n’est pas toujours synonyme de nouveauté. Si la créativité ne constitue pas votre qualité première, il vous est toujours possible de reprendre une activité existante. Vous serez ainsi votre propre patron et pourrez gérer vos collaborateurs et votre projet sans pour autant être à l’origine de l’idée entrepreneuriale que vous développez. Une autre solution consiste à s’associer avec une personne qui vous est complémentaire. C’est le cas des entrepreneurs qui possèdent l’idée mais qui n’ont pas la technique pour la réaliser. Ils s’associent le plus souvent à des ingénieurs qui détiennent les capacités techniques pour réaliser le projet mais qui n’ont pas la fibre entrepreneuriale. Enfin, une troisième solution serait de rentrer dans un réseau de franchise.

dynamique-mag.com

Comment choisir entre deux candidats ?

Lorsque l’on recrute un salarié, il est courant de se fier à son CV et à son expérience professionnelle pour déterminer s’ils possèdent les compétences nécessaires à l’exécution de ses futures tâches. Mais voilà il arrive que deux candidats aient des compétences similaires et qu’ils vous faillent trancher entre deux profils. Comment faire quand on est presque dans l’exæquo ?

Vous servir de la fiche préalable que vous avez préparée

Il s’agit au préalable de l’entretien d’avoir défini le portrait idéal du candidat recherché. Il s’agit d’une fiche complète qui inclut la personnalité du candidat. Vous pouvez commencer par :

  • L’ensemble des missions et tâches liées au poste afin d’évaluer l’ensemble des compétences nécessaire à leurs bonnes exécutions.
  • Les compétences essentielles à l’exécution de ces missions : le parcours doit refléter la capacité à prendre en charge la mission ou le savoir-faire.
  • Le niveau de maîtrise technique qui peut avoir notamment une incidence sur le délai d’exécution ou encore la capacité à exécuter une tâche.
  • Le niveau de responsabilité pour savoir si, par exemple, la personne résistera à la pression et peut par exemple travailler dans l’urgence.
  • Le diplôme éventuellement exigé, la formation ou la certification requise : ils restent à prendre cependant avec des pincettes car il existe des profils atypiques et qui sont autodidactes.
  • L’’environnement de travail : rien ne sert de recruter quelqu’un s’il ne s’adaptera pas aux conditions d’exécution de sa mission. Tous les postes n’ont pas la même exigence en termes de contact par exemple et vous n’aurez pas besoin d’avoir quelqu’un avec une forte éloquence s’il n’est jamais en contact le client
  • Les aptitudes relationnelles : certaines personnes par exemple détestent travailler en équipe ou préfèrent travailler seules. Si la mission inclut un travail d’équipe permanent, il vaudra mieux ne pas la sélectionner.

Cette fiche doit donc comprendre les savoir-faire et savoir-être de la personne.

Faire un test en condition réelle

Si le doute subsiste, vous pouvez tout simplement mettre les candidats en situation réelle pendant l’entretien ou le second entretien. Vous pourrez ainsi voir comment il travaille, les délais et son niveau de maîtrise technique. S’il peut être délicat de rester avec lui pendant qu’il exécute ce que vous lui avez demandé, vous pourrez le juger sur le résultat. Il pourra parfois être utile de lui demander comment il a procédé afin d’évaluer si la méthode employée vous semble la mieux choisie. Vous pourrez parfois ainsi identifier certaines lacunes techniques qui n’apparaissent pas sur le cv comme les expériences du candidat. Deux personnes qui ont dû utiliser Excel n’en ont par exemple pas la même maitrise. Certains sauront bloquer des cellules, d’autres non. Attention tout de même à ne pas lui faire faire le test trop longtemps car vous pourriez rapidement passer dans l’illégalité car il ne s’agit pas de faire faire une tâche qui rapporte réellement quelque chose à l’entreprise mais bien de tester le candidat.

Demander aux personnes avec lesquelles elle va travailler de la rencontrer

Si la compétence technique ne fait plus de doute et que la personne semble posséder le savoir-être pour le poste, rien ne vous empêche de la confronter avec ses futurs collègues qui pourront apprécier ou non sa personnalité. Il s’agit alors de répondre à une question simple : « est-ce que vous voyez travailler avec telle personne ou préférez-vous l’autre personne ? ». Le feeling joue un rôle essentiel dans le travail d’équipe et il vous faudra peut-être vous fier à l’instinct. S’il est très facile de cacher sa personnalité lors de l’entretien, de nombreux autres signaux non perceptibles influent sur notre jugement. Nous sentons ou non les personnes que nous avons en face de nous et développons plus ou moins des affinités naturelles. L’ambiance joue un rôle fondamental dans l’entreprise et vous devrez à tout prix la préserver.

Vous concentrer sur les motivations

Si rien ne marche, vous pouvez vous attarder sur la motivation de la personne ainsi que sur ses qualités et défauts. Il reste souvent difficile de connaître ces derniers car les candidats sont parfois formés et savent ce qu’ils doivent répondre. La motivation est différente et se ressent dans l’enthousiasme de la personne à intégrer le poste. En cas d’indécision, de nombreux recruteurs n’hésitent pas à le dire aux candidats afin de voir celui qui désire le plus le poste.

Départager deux candidats qui semblent avoir des profils adéquats demeure un choix difficile et un grand nombre de recruteurs n’hésitent pas à faire à des cabinets spécialisés en cas de doute ou pour la sélection des profils.

 

dynamique-mag.com

Coronavirus: le tourisme mondial en quarantaine

Lorsque l’on recrute un salarié, il est courant de se fier à son CV et à son expérience professionnelle pour déterminer s’ils possèdent les compétences nécessaires à l’exécution de ses futures tâches. Mais voilà il arrive que deux candidats aient des compétences similaires et qu’ils vous faillent trancher entre deux profils. Comment faire quand on est presque dans l’exæquo ?

Vous servir de la fiche préalable que vous avez préparée

Il s’agit au préalable de l’entretien d’avoir défini le portrait idéal du candidat recherché. Il s’agit d’une fiche complète qui inclut la personnalité du candidat. Vous pouvez commencer par :

  • L’ensemble des missions et tâches liées au poste afin d’évaluer l’ensemble des compétences nécessaire à leurs bonnes exécutions.
  • Les compétences essentielles à l’exécution de ces missions : le parcours doit refléter la capacité à prendre en charge la mission ou le savoir-faire.
  • Le niveau de maîtrise technique qui peut avoir notamment une incidence sur le délai d’exécution ou encore la capacité à exécuter une tâche.
  • Le niveau de responsabilité pour savoir si, par exemple, la personne résistera à la pression et peut par exemple travailler dans l’urgence.
  • Le diplôme éventuellement exigé, la formation ou la certification requise : ils restent à prendre cependant avec des pincettes car il existe des profils atypiques et qui sont autodidactes.
  • L’’environnement de travail : rien ne sert de recruter quelqu’un s’il ne s’adaptera pas aux conditions d’exécution de sa mission. Tous les postes n’ont pas la même exigence en termes de contact par exemple et vous n’aurez pas besoin d’avoir quelqu’un avec une forte éloquence s’il n’est jamais en contact le client
  • Les aptitudes relationnelles : certaines personnes par exemple détestent travailler en équipe ou préfèrent travailler seules. Si la mission inclut un travail d’équipe permanent, il vaudra mieux ne pas la sélectionner.

Cette fiche doit donc comprendre les savoir-faire et savoir-être de la personne.

Faire un test en condition réelle

Si le doute subsiste, vous pouvez tout simplement mettre les candidats en situation réelle pendant l’entretien ou le second entretien. Vous pourrez ainsi voir comment il travaille, les délais et son niveau de maîtrise technique. S’il peut être délicat de rester avec lui pendant qu’il exécute ce que vous lui avez demandé, vous pourrez le juger sur le résultat. Il pourra parfois être utile de lui demander comment il a procédé afin d’évaluer si la méthode employée vous semble la mieux choisie. Vous pourrez parfois ainsi identifier certaines lacunes techniques qui n’apparaissent pas sur le cv comme les expériences du candidat. Deux personnes qui ont dû utiliser Excel n’en ont par exemple pas la même maitrise. Certains sauront bloquer des cellules, d’autres non. Attention tout de même à ne pas lui faire faire le test trop longtemps car vous pourriez rapidement passer dans l’illégalité car il ne s’agit pas de faire faire une tâche qui rapporte réellement quelque chose à l’entreprise mais bien de tester le candidat.

Demander aux personnes avec lesquelles elle va travailler de la rencontrer

Si la compétence technique ne fait plus de doute et que la personne semble posséder le savoir-être pour le poste, rien ne vous empêche de la confronter avec ses futurs collègues qui pourront apprécier ou non sa personnalité. Il s’agit alors de répondre à une question simple : « est-ce que vous voyez travailler avec telle personne ou préférez-vous l’autre personne ? ». Le feeling joue un rôle essentiel dans le travail d’équipe et il vous faudra peut-être vous fier à l’instinct. S’il est très facile de cacher sa personnalité lors de l’entretien, de nombreux autres signaux non perceptibles influent sur notre jugement. Nous sentons ou non les personnes que nous avons en face de nous et développons plus ou moins des affinités naturelles. L’ambiance joue un rôle fondamental dans l’entreprise et vous devrez à tout prix la préserver.

Vous concentrer sur les motivations

Si rien ne marche, vous pouvez vous attarder sur la motivation de la personne ainsi que sur ses qualités et défauts. Il reste souvent difficile de connaître ces derniers car les candidats sont parfois formés et savent ce qu’ils doivent répondre. La motivation est différente et se ressent dans l’enthousiasme de la personne à intégrer le poste. En cas d’indécision, de nombreux recruteurs n’hésitent pas à le dire aux candidats afin de voir celui qui désire le plus le poste.

Départager deux candidats qui semblent avoir des profils adéquats demeure un choix difficile et un grand nombre de recruteurs n’hésitent pas à faire à des cabinets spécialisés en cas de doute ou pour la sélection des profils.

RFI

El.CAN 2021 : Des Eléphants décimés par le Coronavirus ?

Dans le cadre des 3è et 4è journées des qualifications de la CAN 2021, La Côte d’Ivoire sera face à Madagascar les 27 et 31 mars prochain. Une double-confrontation pour laquelle le groupe des Eléphants pourrait apparaître décimé pour cause de Coronavirus.

Nommé à la tête des Eléphants de Côte d’Ivoire le 4 mars 2020, Patrice Beaumelle est déjà face à une difficulté au-delà de ses compétences : La crise du Coronavirus. Le technicien français à la tête d’une sélection composée à plus de 90% d’éléments évoluant en Europe, pourrait faire sans des cadors. Car des forfaits sont en passe de s’abattre, contre leur gré, sur Jérémie Boga, Franck Kessié, Séko Fofana et Gervinho…, tous engagés dans le championnat d’Italie, pays où le Covid-19 se propage à un rythme accéléré.

En effet, le bilan en Italie a fortement augmenté avec plus de 9.000 cas au total et 463 décès. Ces nouveaux chiffres font du pays le deuxième le plus touché au monde, après la Chine, et devant la Corée du Sud. L’intégralité du pays a été d’ailleurs placée en quarantaine. Face à la menace, la compagnie Air France a annoncé mardi suspendre tous ses vols vers l’Italie entre le 14 mars et le 3 avril inclus. De quoi mettre une croix sur les Eléphants de ce côté du globe, pressentis pour figurer sur la liste de Patrice Beaumelle.

Cette situation pourrait très vite concerner tous les Eléphants évoluant Europe. D’ailleurs, en Angleterre, plusieurs joueurs d’Arsenal auquel appartient Nicolas Pépé, ont été placés en isolement, à cause d’une possible contamination après le match de Ligue Europa face à l’Olympiakos, dont le président, Evangelos Marinakis, a été déclaré positif au virus. Un risque qui concerne tout le football anglais puisqu’Arsenal, après l’Olympiakos, a livré deux matches face à Portsmouth, en FA Cup, et à West Ham en Premier League. Ainsi Serge Aurier, Eric Bailly ou Yakou Méïté pourraient également être soupçonnés. Tout comme les Internationaux évoluant en Ligue 1, en France.

De son côté, la Fédération Ivoirienne de Football n’a pas encore fait de communication sur la situation qui guette les Eléphants, à 16 jours de la réception des Bareas de Madagascar. Alors que la CAF a indiqué maintenir les éliminatoires aux dates initiales, pendant que la FIFA a reporté son congrès du 5 juin au 18 septembre 2020 à Addis-Abeba pour cause de Coronavirus, la Côte d’Ivoire, en attendant la première liste de Patrice Beaumelle, pourrait se présenter avec une sélection A fortement remaniée, et qui pourrait ressembler à une version améliorée de celle habilitée à participer au CHAN.

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L’hébergement d’un site, une action incontournable

Votre site est prêt, vous venez de lui apporter les dernières touches pour qu’il soit performant. Vous avez peaufiné chaque détail afin qu’il puisse retenir l’attention des internautes et qu’ils aient envie d’y rester. Votre discours est désormais peaufiné et vos cibles y trouvent leur bonheur. Avant de le mettre en ligne, un hébergement web est nécessaire. Sur quels critères pouvez-vous vous baser pour sélectionner un hébergement dans la jungle de propositions ?

Le choix de l’hébergeur web international ou français

Si vous comparez les prix, vous allez en trouver des prix défiant toute concurrence dans des hébergements à l’international. Vous prenez cependant  le risque de vous trouver hébergé sur des sites qui n’assurent pas une transparence optimale et qui ne vous fourniront pas une sécurité optimale. Le tarif n’est donc pas de la seule donnée à prendre en compte lorsque vous choisissez votre hébergement. Vous devez garder à l’esprit qu’il vous faut vous protéger des hackers par exemple.

Les hébergements web français sont plus sécurisés

Choisir une domiciliation en France apporte davantage de sécurité car vous connaissez ceux qui traitent vos données. Pour commencer, vous pouvez être attentif à l’emplacement des hébergeurs et vous demander s’ils sont situés dans une contrée inconnue ou lointaine ou s’ils officient avec une présence physique en France. Pourquoi ? Déjà, parce que vous pouvez  les contacter plus facilement puisqu’ils parlent français.

Ensuite vous pouvez, en général, les joindre par téléphone en cas d’urgence. Outre le fait de se faire hacker, il peut arriver que le serveur tombe en panne ou soit ralenti. Disposer d’un interlocuteur représente un plus pour  résoudre la situation dans les meilleurs délais , car il en va de votre business et donc de votre chiffre d’affaires. Avoir un hébergeur en France améliore en général la vitesse de votre site puisqu’il est hébergé dans sa localité.

Les hébergeurs en France sont disponibles

Il faut également penser que la disponibilité et l’efficacité du support jouent un rôle important. Vous pouvez avoir besoin de contacter votre hébergeur pour de nombreuses raisons, comme activer une technologie requise par une application web ou si vous avez une question technique.

La performance des infrastructures de l’hébergeur web

Il vous faut prendre en compte que tous les hébergeurs web peuvent subir de graves pannes sur leurs infrastructures, quelle que soit leur expérience ou leur taille. Il vous faut donc prendre en compte la réactivité de la plateforme par rapport. Vous pouvez vous informer de la  réputation de l’hébergeur sur la toile car s’il subit des pannes, ses clients ne mettront pas longtemps à faire des retours négatifs sur les réseaux sociaux.

Certains hébergeurs web comme o2switch possèdent une excellente réputation en ce qui concerne la qualité de leurs infrastructures. Héberger un site web chez un prestataire dont les serveurs sont fiables et les retours clients positifs est la garantie de bénéficier d’un service de qualité pour votre site web. C’est aussi l’assurance de ne pas avoir à contacter régulièrement le service client, et de pouvoir profiter d’ un site web qui fonctionne de façon optimale h24 et 7j/7, ce qui indique un excellent rapport qualité-prix.

Une mauvaise infrastructure peut avoir des conséquences catastrophiques car de nombreux clients risquent de le contacter en même temps et il mettra un certain temps à vous répondre ou à résoudre le problème. Un site qui ne marche pas pendant plusieurs jours risque d’être rapidement déserté par les internautes et il est toujours désagréable de ne pas pouvoir contacter à ce moment son service clientèle, engorgé par les réclamations.

Bien observer la technologie utilisée pour la rapidité

Il vous faut également prendre en compte la technologie utilisée. Si elle n’est pas de pointe ou implantée depuis longtemps, il se peut qu’elle ne soit pas la plus performante sur le marché actuel et qu’elle ralentisse votre site.

N’hésitez pas à contrôler la  capacité de l’espace de stockage qui peut, si elle est trop basse, vous poser des difficultés ultérieures. Il reste évident que selon la taille de l’espace alloué le prix n’est pas le même, mais il faut reconnaître que selon la taille, la réactivité du site est bien meilleure. Vous pouvez afficher des pages web plus rapidement.

Des éléments cachés ?

Regardez également si l’offre proposée inclut un vrai packaging afin que vous ne soyez pas obligé de souscrire des options qui dès le départ sont nécessaires à la navigation des internautes et qui vous coûteront plus cher. Le nom de domaine (par ex. : mon-site.com) est généralement compris dans le prix mais il peut toujours être judicieux de le vérifier. Il reste plus simple  de gérer votre domaine chez la même société qui héberge votre site internet et vos adresses email. La connexion entre votre site, vos adresses mails, mais également votre nom de domaine se fera ainsi automatiquement. À défaut, vous devrez ajuster manuellement la zone DNS de votre domaine.

La plupart des hébergeurs le font et incluent : les certificats SSL gratuits, la protection Anti-DDoS, la technologie SSD pour les fichiers et bases de données, une sauvegarde régulière des fichiers et bases de données ainsi que le support de technologies de cache. Il ne coûte cependant rien de vérifier.

La durée de l’engagement et la possibilité de résiliation restent des critères de choix, comme lorsque vous choisissez un abonnement pour votre smartphone. Vous pouvez vous retrouver coincé avec un hébergeur qui ne marcherait pas bien et dont vous ne pourriez vous séparer qu’après une longue durée.

Deux types de serveurs : le dédié ou le mutualisé

Le serveur dédié est le plus répandu auprès des grandes entreprises et consiste à utiliser  un serveur dédié qui ne stocke qu’un unique site web . L’avantage est qu’il implique une réactivité optimale du site web. Il se révèle assez onéreux car les prix se situent entre une dizaine et plusieurs centaines d’euros par mois. Cela pose aussi un gros problème écologique, dans la mesure où très peu de sites nécessitent un serveur dédié.

Quant au serveur mutualisé, il possède certes des caractéristiques techniques identiques mais ce serveur stocke plusieurs sites, ce qui implique que la réactivité du serveur mutualisé est moindre mais que ses prix sont plus compétitifs.

Il vous faut donc prendre en compte la nature de votre site. Par exemple : si votre site internet est un site marchand ou à forte audience, le serveur doit pouvoir gérer de nombreuses connexions.

Un hébergement gratuit ?

Ils existent mais  nous vous conseillons de vous méfier de telles offres. De base, tout simplement parce qu’héberger un site nécessite une infrastructure coûteuse et de solides compétences techniques, et qu’un hébergement gratuit est dans ce cas hautement suspect.

La disponibilité, la performance et la sécurité des données de votre site ne sont également pas garanties.  L’avantage d’avoir un hébergeur payant est qu’il ne fermera pas du jour au lendemain en vous laissant avec tous les problèmes que cela implique et notamment la perte de vos données sans sauvegarde.

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L’esprit d’entrepreneur en quelques citations

Dans certaines écoles en France, il était pris l’habitude d’émailler ses discours, conférences de citations pour mettre en quelque sorte du piment dans leurs présentations ou dans leurs échanges. Il se devait de les changer régulièrement et ainsi il pouvait paraître cultivés et en imposer. Il en est d’un tout autre esprit celui des entrepreneurs qui grâce aux citations s’encouragent à dépasser les difficultés. Cet article vous en propose quelques -unes et à la fin de chaque magazine vous trouverez une page relative aux phrases inspirantes car rien de mieux que ceux qui ont traversé les difficultés pour devenir des modèles d’encouragements, telle est notre conviction et les partager fait sens.

Au-delà d’être une simple fonction, bien que pas si simple qu’il n’y paraît, être entrepreneur, c’est aussi un état d’esprit. Retour sur ces citations qui resteront pour la plupart intemporelles et qui animent la manière de penser de tout entrepreneur qui se respecte.

« Dites au monde ce que vous comptez faire, mais d’abord montrez-le », Napoléon Hill

Rien ne sert de prétendre à quelque chose si l’on ne met rien en œuvre pour en faire une réalité. Entreprendre est déjà une belle preuve que vous vous donnez les moyens de réussir et que vous souhaitez aller au bout de votre projet. Vous devez tout mettre en place pour aller au bout des choses, ne pas juste parler d’une idée ou d’un projet mais le faire.

« Le succès est un mauvais professeur. Il pousse les gens intelligents à croire qu’ils sont infaillibles », Bill Gates.

Une citation portée par le fondateur de Microsoft qui vous ramène sur terre. Le message qu’il cherche à faire passer repose sur le fait que l’on ne doit pas se reposer sur ses acquis. Réussir est une chose, mais il faut garder à l’esprit vos autres objectifs. Ne vous laissez pas distraire, recentrez-vous sur l’essentiel. Ce n’est pas parce que vous connaissez une période plus que profitable à votre activité que vous devez raisonner de manière à croire que votre ce succès est éternel. Anticipez les éventuelles difficultés, vous pourriez en effet tomber de haut. Ne vous laissez donc pas aveugler par le succès.

« Une personne qui n’a jamais commis d’erreurs n’a jamais tenté d’innover », Albert Einstein.

Innover c’est d’abord expérimenter. Vous ne trouverez peut être pas une idée démontrée comme viable tout de suite ou porteuse de succès, mais vous ne devez pas désespérer pour autant. « Rome ne s’est pas faite en un jour ». Entreprendre comme innover induit nécessairement une prise de risques et parfois de faire plusieurs tentatives. L’expérience que vous en tirerez est parfois source d’une innovation révolutionnant le marché.

« La meilleure raison pour lancer une entreprise est de créer du sens, de créer un produit ou un service qui contribue à améliorer le monde », Guy Kawasaki.

Donner naissance à une entreprise est un fait. Mais créer une entreprise dont le concept contribue à améliorer le monde donne un sens à votre activité. Outre la volonté de gagner de l’argent, il peut y avoir une vertu morale dans la création d’une entreprise. Conférer un sens à ce que vous faites est d’autant plus motivant pour vous. Votre désir de réussite est animé par un certain aspect moral, voire une passion. Ce qu’il semblerait être une excellente raison.

« La première loi du succès, c’est d’abord se rendre accessible aux autres, savoir les écouter, partager leurs confidences, les aider aux besoins, les convaincre de persévérer dans la poursuite d’un but », Raymond Viger.

Certes, vous ne devez compter que sur vous-même. Mais vous ne devez pas rester fermé à votre entourage. Un bon entrepreneur sait se montrer compréhensif. Savoir écouter les autres est une qualité indispensable chez un entrepreneur afin de pouvoir déceler un éventuel dysfonctionnement au sein de l’entreprise.

« Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté », Winston Churchill.

Une difficulté est parfois dure à surmonter. Elle induit souvent une remise en question et généralement, le moral en prend un coup. Il existe pourtant deux façons de voir les choses : l’une voit les choses de manière optimiste, l’autre de manière pessimiste. La vision d’un entrepreneur quant aux difficultés doit être de nature objective. Il doit savoir déceler, malgré la difficulté, chaque opportunité qui se présente à lui. Une difficulté s’apparente en effet comme une épreuve à surmonter. Dans chaque épreuve se cache une opportunité dans le sens où, si l’on parvient à dépasser la difficulté, l’on apprend de ses erreurs. Cela permet de ne pas refaire les mêmes. Une remise en question vous donne d’ailleurs la possibilité de percevoir les choses différemment dans la logique d’une perspective d’amélioration.

« Rien n’est plus dangereux que d’être moderne ; on risque de devenir soudain ultra démodé », Oscar Wilde.

Avoir recours à l’innovation n’est pas toujours la meilleure solution. Vous ne devez pas tenter d’innover juste par défaut. Vouloir à tout prix proposer un produit innovant sur le marché demande parfois de plus gros moyens. Rien ne sert de vouloir révolutionner le monde si l’on n’en est pas capable, soit par l’émergence de l’idée innovante, soit par la viabilité du projet compte tenu de son activité et de sa capacité financière. Les meilleures idées émanent parfois de choses simples.

 

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Comment recruter lorsqu’on est auto-entrepreneur

Vous êtes auto-entrepreneur (entrepreneur individuel) et vous avez besoin de recruter des salariés. Vous ne savez pas quelles sont vos possibilités suivant votre statut. Soyez rassuré, vous pouvez tout à fait recruter des salariés en respectant les mêmes règles que tout entrepreneur. Pour autant, recruter ne reste pas simple pour un auto-entrepreneur.

Votre chiffre d’affaire est l’élément principal

Avant les contraintes juridiques se pose la question du chiffre d’affaires car même en atteignant le plafond du CA, vous n’êtes pas en mesure de recruter un salarié à temps plein et sur une longue durée. Dans ce cas, pensez aux missions, plus adaptées à votre portefeuille. En effet, le plafond du CA annuel d’un auto-entrepreneur est limité à 32600€ HT annuel s’il exerce une activité de service et à 81500€ s’il s’agit d’une activité de vente.

Or, le recrutement d’un salarié nécessite une trésorerie conséquente. Il ne faut pas oublier les charges patronales, les charges sociales, etc. Pour cette raison, il est vivement conseillé à l’auto-entrepreneur de se rapprocher de professionnels tels que les conseillers financiers, les comptables, les juristes, etc. afin de faire le point et d’étudier ensemble la ou les solutions qui lui permettront de faire face à ses besoins. Après la clarification des diverses possibilités, des solutions restent envisageables et pour l’essentiel, deux solutions particulières paraissent les plus adéquates pour l’auto-entrepreneur en matière de recrutement :

Recruter avec le titre emploi-service entreprise (TESE)

Le Titre emploi service entreprise (Tese) est un dispositif gratuit du réseau des Urssaf destiné à simplifier les formalités sociales liées à l’emploi de salariés et à faire gagner du temps aux employeurs dans la gestion administrative de leur personnel. L’adhésion et les déclarations s’effectuent obligatoirement en ligne à partir de la rubrique « Espace employeur.

Dans ce cas, pour l’embauche d’un salarié en direct, de type CDD, il est recommandé d’opter pour le système TESE afin de faciliter totalement votre démarche de recrutement

Le système TESE vous permet de regrouper et ainsi d’alléger la déclaration préalable à l’embauche, le contrat de travail, le bulletin de paie et le certificat de travail.

Pour bénéficier des avantages de TESE, vous devez effectuer les formalités liées à l’embauche ( déclaration unique d’embauche [DUE] et contrat de travail), une déclaration pour les organismes de protection sociale qui gèrent des régimes collectifs et obligatoires comme l’Urssaf, l’assurance chômage, les caisses de retraite complémentaire et supplémentaire, l’organisme de prévoyance, la caisse de congés payés pour le secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP) ou la caisse interprofessionnelle de congés payés.
Si vous souhaitez recruter un salarié et que ce dispositif vous intéresse, adressez-vous directement et sans plus attendre à votre URSSAF ou au centre national de traitement du

Le Titre emploi service entreprise c’est un seul formulaire en ligne pour accomplir les formalités liées à l’embauche : déclaration préalable à l’embauche (DPAE) et contrat de travail ; une seule déclaration en ligne pour les organismes de protection sociale gérant des régimes collectifs et obligatoires: Urssaf, assurance chômage, caisses de retraite complémentaire et supplémentaire, organisme de prévoyance, caisse de congés payés pour le secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP) ou caisse interprofessionnelle de congés-payés, notamment pour les secteurs transport, manutention, nettoyage industrie  mais aussi pour gérer le prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu et un seul règlement pour les cotisations de protection sociale obligatoire dues et pour l’impôt sur le revenu prélevé à la source si vos salariés sont imposables.

Les conditions pour faire appel à un stagiaire

Le recrutement d’un stagiaire au sein de votre auto-entreprise représente une solution très accessible à plusieurs points de vue. Néanmoins il est conseillé de vous renseigner sur toutes les conditions dictées par la convention de stage. N’oubliez pas que le recrutement d’un(e) stagiaire suppose un encadrement constituant un processus tripartite entre le stagiaire, l’école et l’entreprise.

D’un point de vue administratif, soyez tranquille, vous n’avez aucune obligation à effectuer dans le cadre de ce type d’embauche, ce qui simplifie nettement l’approche et la gestion. Recruter un stagiaire est bénéfique pour l’entreprise : outre le faible coût de la « gratification » versée au stagiaire, vous bénéficierez d’exonérations (sous certaines conditions), ce qui n’est pas négligeable en ces temps de crise.

Pour en connaître les modalités, l’auto-entrepreneur pourra trouver informations et réponses auprès de l’école de son stagiaire. Celle-ci pourra le renseigner précisément selon chaque cas de figure. Ainsi, recruter un stagiaire présente l’avantage de répondre à votre besoin sans fragiliser la pérennité financière de votre auto-entreprise.
Pour davantage de renseignements rendez vous sur le site du ministère du travail, de la solidarité et de la fonction publique : il vous informera sur tous les points relatifs à l’emploi d’un stagiaire et vous permettra de comprendre son fonctionnement et les avantages qui en découlent.

A savoir !

Une gratification minimale est versée si la durée du stage est supérieure à :

  • 2 mois consécutifs (soit l’équivalent de 44 jours à 7 heures par jour) au cours de la même année scolaire ou universitaire,
  • Ou  à partir de la 309e heure de stage même s’il est effectué de façon non continue.

En dessous de ces seuils de durée, l’organisme d’accueil n’a pas l’obligation de verser une gratification. Si le montant horaire de la gratification est inférieur à 3,90 €, le stagiaire est exonéré de cotisations sociales.

Le montant versé par l’organisme d’accueil est fixé :

  • soit par convention de branche ou par accord professionnel étendus,
  • soit, à défaut, par des dispositions réglementaires. Dans ce cas, le montant minimum varie en fonction de la date de signature de la convention de stage.

La gratification est versée à la fin de chaque mois et non pas en fin de stage. Elle est due dès le 1er jour de stage, et non pas à partir du seuil des 2 mois de stage.

La gratification peut être versée de 2 manières :

  • soit en fonction du nombre réel d’heures effectuées par mois,
  • soit par lissage par mois de la totalité des heures effectuées durant le stage

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