Prendre de l’avance est essentiel

Si après une période de rush, les forces semblent nous quitter, une bonne pratique consiste à maintenir l’effort encore quelques temps. Prendre de l’avance n’est pas seulement un luxe ! Il existe de nombreuses raisons pour ne pas se laisser aller à la procrastination. Certaines peuvent paraître évidentes, d’autres peuvent susciter la réflexion.

Le retard entraîne du retard

Si vous vous retrouvez à nouveau dans le rush, cette situation va nécessiter plus de temps pour être traitée que si vous ne l’effectuiez en avance. Email de relance, nécessité de se justifier ou de prévenir, insatisfaction, inquiétude… Autant d’éléments qui vont vous faire perdre du temps par la suite.  Autant prendre de l’avance pour vous éviter de perdre plus de temps par la suite. Moins vous aurez ces préoccupations qui vous trottent dans la tête, mieux vous vous porterez et mieux vous dormirez alors autant prendre le taureau par les cornes et pour cette année 2020, décidez de ne plus jamais être juste dans les temps mais véritablement en avance.

Avoir de l’avance, cela fait du bien

A force de courir après les éléments et d’avoir le stress de les avoir à temps, vous allez rentrer dans une spirale qui va vous fatiguer. Prendre de l’avance vous permet de quitter l’inquiétude de voir des éléments qui arrivent en retard par exemple et qui pourraient vous ronger pendant vos heures de travail et vous empêcher d’être concentré. Cela vous permet également de décider de souffler quand vous l’aurez décidé ou quand un impératif tombe qu’il soit personnel ou professionnel. Vous pouvez ainsi consacrer du temps sans pour autant essayer de vous démultiplier et d’être au four et au moulin. Vous n’avez plus à gérer le retard et cela vous pouvez travailler à votre rythme.

Vous évitez une chaîne de retard

Il est parfois difficile de déterminer ce qui a fait prendre du retard ou fait perdre du temps lorsque l’ensemble de la chaine n’est pas en avance. Pas le temps de se pencher sur les motifs, il faut alors trouver des solutions rapides pour ne pas engranger toute une chaine de conséquences sur la chaine de production par exemple. Il est plus difficile d’identifier ce qui a causé un retard quand la cause est unique que quand le premier élément est arrivé en retard, puis le second s’accumule par effet de dominos… Il vous saura d’autant plus facile de comprendre ce qui a dysfonctionné et de trouver des solutions pour les prochaines fois.

Vous pouvez gérer des imprévus

Les imprévus cela tombe tout le temps et n’importe quand alors autant avoir de l’avance pour vous permettre de les gérer. Vous éviterez une bonne dose de stress et vous pourrez traiter la situation sans qu’elle n’ait de conséquences sur le reste de votre activité. Il s’agit avant tout de l’effectuer dans une ambiance qui serait sereine plutôt que surchargée et où personne ne prend le temps de se parler et développe une atmosphère anxiogène. Prendre de l’avance vous permet de gérer par exemple un surcroit d’activité ou encore une insatisfaction. Sans le stress des autres deadlines vous pouvez gérer au mieux la situation.

Vous pouvez enfin trouver des solutions

Prendre de l’avance sert surtout à penser à l’avenir. Il ne s’agit pas que du gain de temps immédiat mais de mettre en place des solutions pour l’avenir. Vous pouvez ainsi envisager d’automatiser des process, de trouver les bonnes personnes pour venir compléter votre équipe, de créer des procédures ou encore de former vos collaborateurs à d’autres compétences. Vous n’aurez pas forcément le temps nécessaire si vous ne prenez pas de l’avance donc autant se le dire, autant le faire maintenant pour gagner du temps pour l’avenir. Être en avance, vous permettra de gagner beaucoup de temps même si vous en perdez sur le moment pour ne plus avoir à en perdre dans l’avenir sur des tâches qui n’ont pas de valeur ajoutée.

Vous déstressez tout le monde

Il reste assez drôle de voir le nombre de personnes qui prétendent travailler bien et mieux surtout dans l’urgence. Il s’agit surtout du fait de vaincre la procrastination et de rester concentré plutôt que d’avoir une certaine appétence à l’urgence. Si le stress peut, bien entendu, être positif, il est en général à éviter. Prendre de l’avance sur vos tâches, c’est également aux autres de ne pas subir votre manière d’agir et de les mettre dans un cadre serein de travail. Si vous ne le faites pas pour vous, vous pouvez penser à vos collaborateurs qui ne se plaindront jamais que vous leur fournissiez les documents à l’avance. Mieux, il pourrait également être dans la même optique que vous et souhaiter ne plus être dans l’urgence.

Avance rime avec liberté d’organisation

Lorsque vous êtes en avance, vous n’avez plus de tâche à traiter maintenant tout de suite, vous pouvez donc vous organiser comme vous le souhaitez pour maintenir celle-ci. Vous n’avez plus de contrainte à faire une chose rapidement le matin, puis l’après-midi. Vous pouvez vous organiser comme bon vous semble et, par exemple, décider de dormir un peu plus le matin pour récupérer. Votre rapport au temps change et votre manière de vous organiser le sera aussi. Vous ne culpabiliserez plus de prendre du temps pour vous car vous en avez. Vous ne vous dites plus que vous devriez être en train de vous consacrer à une tâche et vous pourrez la traiter quand vous aurez le temps.

Reste tout de même à prendre en compte que l’épuisement peut ne pas être loin et qu’il vous faudra peut-être ménager vos équipes plutôt que de rechercher à avoir de l’avance… Une décision qu’il incombe aux chefs d’entreprise de soupeser.

dynamique-mag.com

L’importation de miel menace les apiculteurs européens

Les producteurs de miel de l’Union européenne tirent la sonnette d’alarme. Ils dénoncent une concurrence déloyale de la part des producteurs d’autres continents, notamment d’Asie. Ils demandent un plan d’urgence à Bruxelles. 

L’Union européenne ne produit pas assez de miel pour satisfaire les besoins des consommateurs. Par conséquent, l’Europe importe près de 40% de ses besoins des pays tiers, la majorité en provenance de Chine et d’autres pays asiatiques. Ce miel est vendu en Europe beaucoup moins cher que celui produit par les apiculteurs européens. Il y a une seule explication à cela : ce n’est pas du vrai miel et c’est difficile à le détecter tellement il est bien fait, estime Étienne Bruneau.

Étienne Bruneau dirige le groupe de travail sur le miel au sein du Comité des organisations professionnelles agricoles de l’Union européenne. Il explique  : « Sur les marchés en Europe on trouve une série de produits composés de 70% de sirop et 30% de miel. Ils sont vendus à des tarifs extrêmement bas. Dans de telles conditions, l’apiculteur européen n’arrive plus à vendre son miel à des prix acceptables. Conséquences, soit ils font faillite soit ils réduisent le nombre des ruches. Si on ne fait rien, les deux tiers des ruches européens vont disparaître. »

En effet, si la situation ne s’améliore pas, près de 10 millions de ruches sur les 17 millions que compte l’Union européenne risquent de disparaître avec toutes les conséquences que cela implique sur la biodiversité et l’environnement. Dans ce contexte, les apiculteurs demandent à la Commission européenne de mettre en place une série de mesures pour défendre la filière : la traçabilité des miels, un étiquetage sur l’origine du produit ou encore un renforcement des contrôles aux frontières.

RFI

Démission du Secrétaire général de la CAF

Le Secrétaire général de la Confédération africaine de football (CAF), le Marocain Mouad Hajji, a déposé, lundi, sa démission de son poste, selon une source de l’instance faitière du football africain.

Le cadre marocain a démissionné de son poste sans dévoiler les raisons de cette décision, selon une source fiable à la CAF.

Mouad Hajji avait était désigné secrétaire général de la CAF en avril dernier, en remplacement de l’Egyptien Amrou Fahmi, décédé la semaine écoulée.

De 2009 à 2011, M. Hajji avait coiffé le poste de directeur du cabinet du ministre de la Jeunesse et des Sports, avant d’exercer au sein de la Fédération royale marocaine de football en tant que directeur administratif des sélections nationales et coordonnateur général des relations internationales, de 2014 à 2018.

Il avait été également vice-président du comité d’organisation de la Coupe du monde des clubs, organisée en 2014 au Maroc.

APA

Quelques astuces pour bien utiliser un moteur de recherche

Effectuer des recherches sur Internet ne consiste pas uniquement à taper un mot ou une série de mots sur le champ de recherches et à attendre le résultat. Il faut savoir s’en servir efficacement pour obtenir un meilleur résultat. Ces quelques astuces vont vous permettre d’utiliser un moteur de recherche efficacement de sorte à obtenir des résultats pertinents.

Bien choisir son moteur de recherche

Il existe plusieurs types de moteurs de recherche. Certains d’entre eux se spécialisent sur des domaines bien déterminés, comme ejustice.fr ou spock.com. D’autres constituent des moteurs généralistes, à savoir, Google, Yahoo, Voila ou Msn Search. Les métas moteurs peuvent également assurer des recherches efficaces, et fournir des résultats plus précis. Ils proposent des résultats issus de plusieurs moteurs de recherche. Particulièrement pour les recherches internationales, il convient d’opter pour un moteur dédié au pays ciblé.

Bien choisir les mots clés

Le choix des mots à taper sur le champ de recherche est essentiel. Les moteurs constituent de simples robots. Ils ne parlent pas notre langue et ne font que fournir les résultats les plus proches de l’objet de recherche. Ainsi, il convient de bien le préciser. Pour rechercher une « boutique de chaussures pour femme », il ne faut surtout pas se limiter à « boutique de chaussures ». À défaut, les résultats fournis par le moteur de recherche incluront les boutiques de chaussures pour hommes, pour enfants et pour femmes. Aussi, il faut exclure les mots clés pouvant induire le robot en erreur et apporter des résultats non pertinents. Pour cela, il suffit d’utiliser le signe « – » en le plaçant devant le mot à exclure. Pour affiner davantage les recherches, l’usage des mots clés profonds s’avère également indispensable. Cela consiste à intégrer des éléments permettant de préciser l’objet de recherche tels que des dates, des lieux…

Effectuer des recherches plus précises

Sélectionner les bons mots clés ne suffit pas, il faut également tenir compte de la syntaxe. En entrant plusieurs mots clés séparés d’un espace, le moteur proposera sûrement des pages contenant l’un d’entre eux. Pour affiner la recherche, il convient d’espacer les deux mots avec un signe « + » pour que le moteur puisse décrypter qu’il doit afficher les pages contenant les deux mots en même temps. Pour rechercher « chaussure » et « femme » dans la même page, il faut entrer « +chaussure +femme ».

Quelques notes à prendre en compte

Dans certains cas, les moteurs de recherche n’hésitent pas à afficher des résultats similaires à l’objet de recherche. Pour chercher une expression exacte, il faut recourir aux guillemets. De cette manière, le robot exclura automatiquement les résultats similaires et ne fera apparaître que les pages contenant le mot exact. Pour le cas des caractères accentués, il convient de savoir que les moteurs de recherche les gèrent de manière différente. Les robots de certains moteurs les prennent en compte tandis que d’autres les négligent. Ainsi, pour obtenir des résultats pertinents, il convient de taper le mot recherché avec l’orthographe exacte. En cas de doute, il faut écrire le mot sans accent. L’ordre des mots constitue également un élément non négligeable dans lorsque l’on a recours aux moteurs de recherche.

Quelques astuces pour plus d’efficacité « site: »

Pour effectuer une recherche dans un site, utilisez la commande « site: ». Par exemple, pour une recherche sur la création d’entreprise au sein du site du Dynamique entrepreneuriale, tapez « création site:Dynamique mag.com».

Le tilde : « ~mot »

Le symbole ~ avant un mot clé permet d’élargir la recherche à tous les mots proches de celui-ci. Par exemple, pour « ~code », Google élargira à «test», «prepacode». Attention à ne pas ajouter d’espace entre le tilde et le mot.

Les guillemets « … »

Les guillemets permettent de rechercher une phrase exacte mot pour mot, par exemple « « bijoux made in France  » ».

« – » et « + »

– ou + devant les mots-clés permet de préciser sa recherche. Le – est utilisé pour exclure un mot, le + permet de chercher des pages sur lesquels se trouvent tous les mots choisis. Par exemple, pour rechercher les mots « France » et «coronavirus» apparaissant sur la même page, on notera « +France +coronavirus ».

Astérisque (*)

Remplacer un mot inconnu ou plusieurs lettres par un joker (*). Il permet de retrouver une expression oubliée ou un produit que vous ne connaissez pas bien : Coach* Paris

Les deux points « .. »

Les deux points entre deux dates permet de rechercher seulement les résultats correspondant à la période indiquée. Par exemple, pour connaître les licornes françaises de 2010 à 2020, on notera : « licorne France 2010..2020».

 

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Les 10 secrets pour réussir à bien rebondir quand son entreprise ne connaît pas le succès espéré

Votre entreprise que vous voyez au top des entreprises, avec un business florissant, stagne et même vous ne pouvez pas vous voiler la face est en phase de régression. Vous n’être pas le premier et ce genre de situations nombre d’entrepreneurs y est confronté. C’est donc le moment de ne pas vous contenter à incriminer le reste du monde, les clients, les circonstances, la conjoncture … Cette attitude est contraire à la posture d’un entrepreneur.

Certes ce matin, vous pouvez le constater en lisant les Unes de la presse, le monde va mal !!! mais au lieu de vous laisser influencer par le pessimisme ambiant lié à des circonstances difficiles, essayez de déceler vos points faibles et vos points forts et décidez de rebondir.

A vous d’appliquer dans votre boîte les 10 secrets pour réussir à bien rebondir quand son entreprise ne connaît pas le succès espéré.

Ne pas baisser les bras

Ce n’est pas parce que votre entreprise ne fonctionne pas qu’elle est pour autant vouée à disparaître. C’est là que vous devez faire jouer votre talent d’entrepreneur et réorienter votre business et vous posez la question : qu’est-ce que je pourrai faire ? quelle idée innovante ? quelle niche pourrait devenir une opportunité ?

Faire l’état des lieux

Qu’est-ce qui pose problème exactement ? Sur quel poste de dépense le cash a-t-il été grillé ?… En faisant une étude objective des problèmes, vous aurez les éléments nécessaires pour avancer. Vous n’auriez pas dû. C’est sûr mais bon inutile de vous morfondre sur ce que vous auriez dû faire.

Se remettre en question

Si votre entreprise n’a pas fonctionné, ce n’est pas forcément que la faute du marché ou de tel client qui vous a fait faux bond. Vous avez oublié d’anticiper ce qui est la qualité essentielle de l’entrepreneur.

Cibler les erreurs stratégiques qui ont été faites

Il y a certainement des options stratégiques qui ont porté préjudice au développement de l’entreprise. Sachez les détecter.

Se faire conseiller

Bénéficier d’un regard extérieur sera une vraie richesse pour vous. Cette personne vous permettra de prendre du recul et de réfléchir avec plus d’objectivité mais choisissez une personne qui ne va vous plaindre mais vous booster.

Réfléchir à une stratégie permettant de dépasser les erreurs

Certes le mal est fait, mais il est temps de dépasser les erreurs. Il n’y a rien qui soit irrémédiable !

Flairer les nouvelles opportunités de développement 

Réfléchissez aux opportunités nouvelles que le marché peut vous apporter. Cela vous permettra de réorienter votre business le plus efficacement possible.

Oser

Il va vous falloir une bonne dose d’audace pour recommencer à zéro et adopter une toute nouvelle stratégie que vous ne maîtrisez pas encore.

Ne pas reproduire les mêmes erreurs

Attention à ne pas tomber dans les pièges qui ont fait sombrer votre chiffre d’affaires.

Communiquer sur son changement de stratégie

Les prospects doivent savoir que votre entreprise s’est réorientée. Inutile de leur dire que c’était parce que vous fonciez droit dans le mur ! Mettez plutôt en valeur la grande agilité de votre start-up !

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Motivez et mobilisez autour de vous!

Si vous souhaitez faire avancer votre entreprise, il va tôt ou tard falloir comprendre que ce sont vos équipes qui font avancer l’entreprise. Vous devez donc les motiver et adopter les  attitudes qui vont inciter vos collaborateurs à s’impliquer et à donner le maximum d’eux-mêmes pour rendre l’entreprise pérenne.

Mettez du sens à leur action

De nombreuses personnes n’hésitent pas à travailler gratuitement pour des associations et à donner de leur énergie. Il en est de même pour la motivation à aller en entreprise. Pour que vos collaborateurs donnent le meilleur d’eux-mêmes, ils doivent adhérer à la mission de l’entreprise, à ses valeurs et trouver que l’avenir que vous proposez est désirable. Parler sans arrêt de résultats financiers n’a rien d’enthousiasmant en soi sauf pour un investisseur. Il s’agit avant tout d’aller plus loin que la simple activité de l’entreprise. De manière identique, les collaborateurs doivent comprendre le sens de leur action. Ils contribuent à la réalisation de ce but et doivent donc pouvoir mesurer l’impact de leur contribution. Chaque collaborateur fait partie d’un tout et contribue au développement de l’entreprise. Ce n’est que parce que chacun fait son travail que l’entreprise peut avancer donc autant être le plus transparent possible afin de créer de l’implication.

Déléguez et créez de l’autonomie

Pour que vos collaborateurs s’impliquent, il faut encore savoir les responsabiliser. Ce n’est qu’en prenant une responsabilité qu’ils vont pouvoir se dépasser. Il ne sert à rien d’être derrière leur dos sans arrêt. Personne n’aime être suivi et vous n’ont plus. Pour que votre entreprise se développe et innove, il est indispensable de libérer leur créativité et donc leur laisser le temps de réfléchir, prendre des risques et les impliquer dans les prises de décisions au maximum. Même dans une usine deux personnes n’ont pas les mêmes performances. Certaines se fixent des challenges et produisent beaucoup plus vite que les autres. Pour les mobiliser au maximum, rien de mieux que de faire en sorte qu’ils soient à l’origine d’un projet ou encore qu’ils en soient les garants. Certaines entreprises n’hésitent pas à donner des budgets aux salariés pour qu’ils puissent régler des problèmes eux-mêmes.

Récompensez et valorisez

Il faut arrêter de croire que l’argent fait tout. Certes, ils ne travaillent pas seulement pour vous faire plaisir mais vous ne retiendrez pas tous vos talents à coup de primes et d’augmentation de salaire. La reconnaissance joue un rôle fondamental. Un simple merci peut être à l’origine d’un sentiment de fierté inégalable de la part de votre collaborateur. N’hésitez pas à valoriser ceux qui ont fait preuve d’initiative et ne rabrouez jamais sur ceux qui subissent un échec. L’échec n’est qu’une manière d’apprendre une manière dont cela ne fonctionne pas comme le dirait Thomas Edison. Un simple pot peut représenter une forme de récompense. Vous avez 10 000 manières peu coûteuses de récompenser vos salariés alors pensez-y. N’hésitez pas à valoriser chaque victoire et à les fêter !

Cassez la hiérarchie

Pour qu’un groupe aille vite, votre structure doit être la plus légère possible pour permettre à chacun d’aller vite et de faire en sorte que la motivation ne s’essouffle pas. Par ailleurs, avoir une structure légère vous permet souvent de la réorganiser et de la rendre plus mobile. Vous évitez les résistances au changement car votre structure devient plus fluide et moins ancrée dans des habitudes. De nombreuses entreprises décomposent et recomposent des équipes en permanence en fonctionnement par projets par exemple afin d’éviter d’enraciner des habitudes et de créer une dynamique permanente. Vous devez représenter une hiérarchie bienveillante et accessible pour aller vite et prendre en compte les idées de vos collaborateurs qui ne tarderont pas à se démotiver si vous ne leur faites pas confiance.

Fixez des objectifs clairs

Nous ne reviendrons pas dans cet article sur les objectifs SMART mais pour que vos collaborateurs soient motivés, ils doivent savoir ce qu’ils doivent accomplir et les accepter. Il s’agit avant tout qu’ils puissent se les approprier et juger leurs performances. Ils peuvent ainsi se lancer des défis car en réalité si on considère une tâche sans objectif, ce n’est qu’une tâche. Quel que soit le métier dans lequel vous évoluez, il est donc nécessaire d’en avoir pour donner une direction et un point à atteindre. Si l’objectif est trop lointain, il pourra paraître inaccessible alors autant faire comprendre à chacun pourquoi le fait de remplir son objectif permettra d’atteindre le but que s’est fixé l’entreprise. Des sociétés comme Allô Resto de Just Eat n’hésite pas à afficher en permanence différent indicateurs de performances qui montrent comment chaque cellule en remplissant ses objectifs contribuent à l’objectif final.

Soyez quelqu’un de sympathique

Pour que votre équipe ait envie de se donner à fond, il faut éviter d’être un despote. Personne n’a envie de faire des efforts pour quelqu’un qu’il déteste. En tant que chef d’entreprise et que vous le vouliez ou non, vous incarnez votre entreprise donc autant prendre en compte que vous devrez développer votre intelligence émotionnelle pour que vos équipes vous suivent. Pour cela ne négligez pas la connaissance de vous-même, l’écoute active ou encore l’empathie. Vous devez être un exemple pour l’immense majorité de vos collaborateurs et donnez toujours le meilleur de vous-même pour faire en sorte que vos collaborateurs évoluent dans une ambiance positive. Les CHO sont d’ailleurs nés de ce désir.

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Le coronavirus va-t-il entrainer une pénurie de médicaments ?

Avec le coronavirus et ses conséquences sur l’industrie chinoise contrainte de fermer ses usines, les pays occidentaux redécouvrent à quel point ils sont dépendants de la Chine pour leur approvisionnement en médicament. Faut-il craindre une pénurie ?

Jusqu’à maintenant un seul médicament a été déclaré manquant. La FDA, l’autorité américaine de contrôle du médicament a annoncé jeudi qu’un produit était en rupture de stock à cause du coronavirus qui a contraint les fabricants chinois à fermer leurs usines. En revanche aucun cas n’a été signalé en Europe. Pourtant, l’organisation actuelle des géants européens ou américains de l’industrie pharmaceutique a de quoi inquiéter: d’après un rapport sénatorial sur le marché français, 60% des composants actifs sont fabriqués en Asie, les deux tiers en Chine et un tiers en Inde. La fermeture des usines chinoises a déjà plombé une partie de la chaîne d’approvisionnement : les actions des trois principaux groupes pharmaceutiques chinois sont en forte baisse. Et en Inde où prospèrent les fabricants de génériques, le prix des molécules chinoises qu’ils importent s’envole. + 50% pour les antibiotiques par exemple.

Cela fait plusieurs années que les professionnels de santé dénoncent cette surexposition à la Chine

En Europe cela fait une dizaine d’années qu’on a repéré les tensions grandissantes, en raison du manque du stock pratiqué à grande échelle par les laboratoires. Les experts de l’industrie pharmaceutique, puis les médecins, et enfin les consommateurs ont amplement alerté les pouvoirs publics sur les risques que la mondialisation de l’industrie pharmaceutique fait courir aux patients. Car les ruptures de stock augmentent de façon exponentielle. En France on est passé en dix ans de 40 médicaments répertoriés sous tension en 2008 à 1450 en 2019. Les médicaments les plus courants, les antidouleurs, les vaccins, les antibiotiques et certains traitements contre le cancer sont les plus dépendants des chimistes chinois. Leur prix a fortement baissé parce qu’ils sont produits à faible coût en Asie, en contrepartie leur disponibilité est devenue aléatoire. Le coronavirus amplifie ces tensions, il pourrait même entrainer des pénuries. Non seulement en pilule, mais aussi en équipement, les gants, les masques sont essentiellement fabriqués en Chine. Les décideurs politiques s’en émeuvent. En France comme aux États-Unis les appels à la relocalisation de l’industrie se multiplient. Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie, l’a déjà évoqué publiquement à deux reprises.

Est-ce envisageable à moyen terme ?

Sanofi a annoncé la semaine dernière son projet de regrouper la fabrication des molécules sur un site commun ouvert à tous les acteurs. Mais on voit mal l’État imposer une relocalisation massive au secteur privé. Cette option se heurte aussi à l’hostilité grandissante de l’opinion publique envers l’industrie chimique : c’est aussi pour contourner les freins administratifs et l’opposition des citoyens à la construction de nouvelles usines très polluantes que les industriels ont délocalisé. En revanche l’État peut imposer aux industriels la constitution de stocks de sécurité de plusieurs mois. Des décrets en ce sens sont en préparation en France, ils devraient être publiés en juin. D’ici là les industriels restent confiants sur la disponibilité de leurs médicaments. Les réserves des pays européens ont été bien garnies pour parer au Brexit. Il y a donc trois à six mois de tranquillité, au-delà, tout dépendra de la propagation de la pandémie.

En bref,

L’activité des usines chinoises est tombée en février à son plus bas niveau historique

Le PMI de l’institut indépendant Markit, l’indice qui traque les commandes des usines chinoises, est passé de plus de 51 en janvier à 40,3 en février, son plus faible étiage depuis la mise en place de ce suivi en 2004. Un PMI inférieur à 50, cela signifie que l’activité se contracte. Ces mauvais chiffres corroborent ceux des autorités chinoises, encore plus catastrophiques publiés samedi. La chute de l’activité manufacturière chinoise est bien plus forte qu’en 2008, au moment de la crise financière.

Face au coronavirus la banque centrale du Japon est prête à enclencher un nouveau plan de soutien à l’économie

C’est ce qu’elle indique aujourd’hui dans un communiqué, une publication assez rare de la part de cette banque centrale. Son impact a été immédiat sur les marchés asiatiques. La bourse nippone, comme les bourses chinoises ont rebondi ce matin. Tokyo a terminé sur une hausse de 0,95%.

RFI

Coronavirus: ces joueurs africains à l’arrêt dans le championnat chinois

La Fédération chinoise de football a suspendu jusqu’à nouvel ordre de son championnat, la Chinese Super League. Ce qui a pour effet le « chômage technique » des joueurs africains évoluant dans le championnat chinois.

Sur le continent asiatique, le coronavirus a secoué le monde du sport. En Chine, où l’épidémie a débuté, le championnat de football qui devait démarrer le 22 février dernier est à l’arrêt. Du coup, les joueurs africains n’ont pas pour le moment la possibilité d’exprimer leur talent sur les pelouses chinoises.

Jean Evrard Kouassi coincé en Espagne

C’est le cas du Camerounais Christian Bassogog qui a rejoint le club de la Super League chinoise Henan Jianye en 2017. Il est actuellement à Yaoundé suite à la suspension du championnat. L’attaquant a annoncé qu’il donnerait 10 millions de francs CFA pour venir en aide à des étudiants camerounais vivant dans des régions de Chine frappées par le coronavirus. Malgré tout, Christian Bassogog fait partie de la liste des joueurs appelés par le sélectionneur en vue de la double confrontation face au Mozambique dans le cadre des éliminatoires de la CAN 2021. Rappelons qu’en tant que pays hôte, le Cameroun est qualifié d’office.

L’Ivoirien Jean Evrard Kouassi est lui coincé en Espagne avec son club, le Wuhan Zall. Wuhan, la ville d’où est parti le coronavirus. En pré-saison à Cadix en Andalousie, tous sont dans l’impossibilité de rentrer dans leur pays en raison de mesures de sécurité drastiques. Ils doivent rester sur le territoire espagnol. Et par solidarité, le Real Madrid et la Liga ont décidé de faire un geste envers eux avec une invitation à regarder le classico face au FC Barcelone dimanche 1er mars. Jean Evrard Kouassi était donc présent lors de la victoire du Real (2-0).

Ayoub El Kaabi revenu au Maroc

Autre figure du foot africain évoluant en Chine, le Congolais Cédric Bakambu (Beijing Guoan). L’attaquant de 28 ans a cru s’engager avec le FC Barcelone au mercato d’hiver. Mais le transfert est avorté. Aujourd’hui, l’ancien joueur du Villarreal attend patiemment la reprise du championnat chinois.

L’international marocain, Ayoub El Kaabi, lui, est de retour au pays. L’unique Lion de l’Atlas à évoluer au sein d’une équipe du championnat chinois séjournait au Japon depuis plusieurs semaines pour préparer le début de la saison. El Kaabi avait été prêté au Wydad de Casablanca pendant six mois avant de rejoindre son club en décembre dernier.

Le Nigérian Odion Ighalo a rejoint Manchester United au mercato d’hiver grâce à un prêt du club de Super League chinoise Shanghai Shenhua pour le reste de la saison. A son arrivée, par mesure de précaution, Ighalo était resté en « quarantaine » pendant la période d’incubation (la période entre le moment de l’infection et l’apparition des premiers symptômes), d’une durée de 14 jours. Et le club avait décidé de ne pas emmener l’attaquant dans son camp d’entraînement des vacances d’hiver en Espagne, car ils craignent qu’il ait des difficultés à rentrer au Royaume-Uni. Depuis, il s’est illustré en ouvrant son compteur face à Bruges en Ligue Europa.

Depuis plusieurs années, la Chine s’est imposée avec les pays du Golf comme une des destinations favorites des ex-stars africaines du ballon rond, notamment en fin de carrière. Mais aujourd’hui, avec la baisse des rémunérations des footballeurs étrangers, ils ne sont plus si nombreux à devoir se confronter au problème du coronavirus sur le territoire chinois.

RFI

Jeu vidéo : « Plague Inc. », le simulateur d’épidémie, supprimé de l’App Store chinois

« Propagez une épidémie dans le monde entier ! », nous encourage la publicité de Plague Inc., jeu vidéo sorti en 2012 et dont le succès, depuis bientôt huit ans, ne se dément pas. Son développeur, la société britannique Ndemic Creations, revendique 130 millions de joueurs sur PC, consoles et smartphones.

L’inquiétude liée au coronavirus depuis quelques semaines aura même propulsé son jeu parmi les premières places du classement des jeux payants les plus téléchargés sur iOS dans le monde entier, y compris en Chine. Au point qu’il y a quelques semaines la soudaine popularité du titre avait mis à rude épreuve les serveurs de Ndemic Creations.

Mais, jeudi 27 février, Ndemic Creations a annoncé que Plague Inc. avait été retiré de l’App Store (la boutique d’applications Apple) en Chine, car « il intègre des contenus illégaux en Chine, tels que déterminés par l’administration chinoise du cyberespace », selon le message reçu par l’entreprise.

Faire muter un virus chinois

Même si les thèmes de ce jeu vieux de huit ans font écho à l’actualité (il s’agit de faire muter un virus chinois de manière à ce qu’il infecte l’intégralité de la population mondiale), le studio souligne ne pas connaître avec davantage de précisions les raisons de ce retrait, et ne pas savoir si cela est lié à l’épidémie du coronavirus. Contacté, Apple France n’a pas répondu pour le moment à nos sollicitations.

Ndemic Creations n’a pas attendu ces dernières semaines pour se défendre des accusations de mauvais goût, et partage régulièrement sur son compte Twitter des articles d’actualité concernant les différentes épidémies, ou encore les droits humains au Moyen-Orient – un sujet au cœur de leur autre jeu, Rebel Inc.

Plague Inc. reste cependant disponible partout ailleurs dans le monde. Le jeu compte parmi les cinquante titres les plus téléchargés sur les boutiques Steam ou encore Play Store, et figure, sur la boutique en ligne de Google, parmi les « choix de l’équipe ».

 

lemonde.fr

Pourquoi opter pour le speed-networking ?

Aujourd’hui les moyens classiques pour recruter sont chronophages et lorsque le besoin de l’entreprise en raison de sa croissance nécessite de recruter de nombreux candidats le speed-networking s’avère judicieux. Il permet de rencontrer dans un espace de temps réduit nombre de candidats dans une atmosphère conviviale et pour les candidats de rentrer dans une compétition qui leur donne envie d’être embauchés.

Le speed-networking est une sorte de speed-dating professionnel. En 2010,
1000 personnes ont été recrutées par la SNCF grâce à ce système. Le réseau
Oudinot, organisateur de speed-networking, déclare que 23 % des candidats
trouvent un emploi dans les six mois suivants la rencontre.   Le Speed Networking est un entretien professionnel qui permet de présenter son parcours et ses compétences en quelques minutes. Il va au-delà des méthodes de recrutement traditionnel :

12 recruteurs et 12 candidats sont rassemblés dans un même lieu pour échanger en un temps limité.

Mais de quoi s’agit-il exactement et en quoi ce processus est-il un avantage pour les recruteurs ?

Qu’est-ce que le speed-networking ?

Le speed-networking est une pratique innovante en matière de recrutement qui s’apparente grandement au principe du speed-dating. Dans un même lieu, recruteurs et candidats se retrouvent face à face pour un entretien rapide qui excède rarement les sept minutes. Pendant ces rencontres, le candidat se présente ainsi que son parcours et ses projets, puis il échange avec le recruteur.

Quels avantages pour le candidat ?

Comme sa traduction littérale l’indique, le speed-networking est en réalité une « mise en réseau rapide », c’est-à-dire que le but est d’abord de faire des rencontres et d’élargir son cercle de connaissances professionnelles, à la fois pour le recruteur et le demandeur d’emploi.

Concernant le candidat, cette méthode est très avantageuse puisque ce dernier peut se mettre en avant, montrer sa personnalité, la manière dont il se différencie des autres candidats, parler de ses projets… Autant de choses qui n’apparaissent pas sur un CV ! Grâce à ces mini-entretiens, il se fait
connaître par de nombreux recruteurs d’une bien meilleure manière que s’il avait envoyé un simple CV accompagné d’une lettre de motivation ressemblant à beaucoup d’autres.

Quels avantages pour le recruteur ?

Du côté des recruteurs, au-delà même de la recherche d’un profil dans le cadre d’une embauche, ce processus peut être l’occasion de valoriser sa marque-employeur et de travailler le discours de présentation de sa boîte vis-à-vis de l’extérieur. Le réseau de contacts que l’on se crée grâce à ce speed-dating professionnel peut servir, par la suite, à trouver des collaborateurs ou des partenaires intéressants.

En effet, plutôt que de lire rapidement des CV, le recruteur rencontre des personnes en chair et en os. Un employé n’est ainsi pas résumé à une feuille de papier avec des diplômes. Sa personnalité et ses projets sont primordiaux et ces courtes discussions permettent au recruteur d’en apprendre beaucoup plus que ce que l’on apprend en lisant une simple lettre de motivation.

Le côté humain est un aspect de plus en plus important dans le management moderne. C’est la raison pour laquelle le speed-networking demeure un excellent moyen pour rencontrer de potentiels futurs employés. Après ce speed-networking, l’employeur peut, s’il veut prolonger la discussion avec un candidat, lui proposer un rendez-vous classique plus approfondi.

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